Divo – L’inspecteur coordonnateur général de l’Education nationale, Kourouma Ibrahima, a apporté lundi à la communauté éducative de Divo la compassion de la ministre de l’Education nationale après les différents décès qu’elle a enregistré ces derniers jours.
« Madame la ministre est profondément touchée par cette crise. Le décès d’un enseignant n’est pas un simple décès ni un décès simple », ont affirmé les émissaires de Kandia Camara.
« Je vous exhorte à avoir le courage de dépasser ce présent malheureux. Perdre autant de personnes, cela fait peur mais ne voyons en cela l’acte d’un individu. Evitons de véhiculer des idées négatives même quand on est en colère », a affirmé Kourouma Ibrahima.
En l’espace d’un trimestre, deux éducateurs et un enseignant ont rendu l’âme au Lycée 2. Dans la même période, deux autres enseignants sont mort au Lycée 1 et un autre au Lycée Assamoi. Sept décès au total ont ainsi été enregistrés dans l’ensemble de la communauté éducative de Divo.
Au delà de la polémique sur la comptabilité macabre, « c’est la fréquence des décès qui nous a interpellé », a affirmé un responsable syndical, Goma Gbah Alexis, ajoutant que depuis plusieurs années, les enseignants réclament en vain des séances d’exorcisme au Lycée de Divo.
gso/cmas
« Madame la ministre est profondément touchée par cette crise. Le décès d’un enseignant n’est pas un simple décès ni un décès simple », ont affirmé les émissaires de Kandia Camara.
« Je vous exhorte à avoir le courage de dépasser ce présent malheureux. Perdre autant de personnes, cela fait peur mais ne voyons en cela l’acte d’un individu. Evitons de véhiculer des idées négatives même quand on est en colère », a affirmé Kourouma Ibrahima.
En l’espace d’un trimestre, deux éducateurs et un enseignant ont rendu l’âme au Lycée 2. Dans la même période, deux autres enseignants sont mort au Lycée 1 et un autre au Lycée Assamoi. Sept décès au total ont ainsi été enregistrés dans l’ensemble de la communauté éducative de Divo.
Au delà de la polémique sur la comptabilité macabre, « c’est la fréquence des décès qui nous a interpellé », a affirmé un responsable syndical, Goma Gbah Alexis, ajoutant que depuis plusieurs années, les enseignants réclament en vain des séances d’exorcisme au Lycée de Divo.
gso/cmas