Après Yamoussoukro, l’événement annuel de la Nuit de la communication – Ebony 2015 retourne à Abidjan. La 17è édition des Ebony se tiendra le 30 janvier à la Plage 3 de l’Heden Golf Hôtel, à la Riviera. Placée sous le parrainage du Premier ministre, Daniel Kablan Duncan, le comité d’organisations du prix et les services de la Primature sont ‘’en train de mettre les bouchées doubles pour que la cérémonie se passe dans de bonnes conditions’’.
Rencontré à son bureau hier au Plateau, Traoré Moussa, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire(Unjci), invite les journalistes à retirer leurs cartes. «Ce n’était pas évident», s’est-il excusé parce qu’il n’y aura que 600 places disponibles. 450 places reviennent aux journalistes et les partenaires ont droit à 150 places.
«Quelle contribution des journalistes pour l’émergence de l’Ivoirien nouveau ?», est le thème-programme de la 17è édition. «Nous sommes près de mille journalistes. Nous allons faire de l’arbitrage nécessaire pour satisfaire le maximum de personnes. Je tiens donc à présenter mes excuses à ceux qui n’auront pas droit à la salle», a-t-il plaidé. «Normalement, admet Traoré Moussa, il ne devrait pas y avoir de problèmes» à cette 17è soirée qui sera diffusée en direct à la Radiodiffusion ivoirienne (RTI1).
«Nous sommes en train de régler les derniers détails», rassure le président de l’Unjci qui a mis fin à certaines habitudes. «Depuis que je suis à la tête de l’Unjci, j’ai décidé que personne ne paie pour rentrer à la soirée des Ebony. Avant, les tables étaient vendues à un million de Fcfa, j’ai mis fin à cela parce que j’estime qu’il y a des partenaires qui ont déjà payé. Il faut donner gratuitement ces places aux journalistes. C’est à cause d’eux que les partenaires ont payé».
OMAR FARUK OSMAN A ABIDJAN VENDREDI
Cette année, l’invité spécial est le journaliste somalien Omar Faruk Osman. Il est le secrétaire général de l’Union nationale des journalistes de Somalie et past-président de la Fédération africaine des journalistes (Faj). Omar Faruk Osman sera à Abidjan demain, vendredi. L’inviter à la 17è édition des Ebony, c’est, souligne Traoré Moussa, ‘’rendre hommage aux journalistes qui se battent pour la liberté de la presse». Dans l’exercice de sa fonction, Farouk a plusieurs fois échappé à la mort. «C’est un journaliste qui se bat pour l’amélioration des conditions de vie des journalistes sur le continent. Nous avons estimé que cette année, il fallait magnifier la liberté de la presse», justifie Traoré Moussa qui ajoute qu’’’aucun journaliste n’est en prison en Côte d’Ivoire ni tué dans l’exercice de sa fonction’’. «Pour mieux apprécier cela, nous faisons venir des journalistes qui se battent au quotidien», relève le président de l’Unjci.
APRES YAMOUSSOUKRO, SAN PEDRO FAIT DES YEUX DOUX A EBONY
L’expérience de la soirée Ebony à Yamoussoukro a été ‘’difficile’’, reconnaît Traoré Moussa. Ce sont plus de 500 journalistes qui y avaient été déplacés puis ‘’logés et nourris’’. «Ce n’était pas évident. Nous avons tenté l’expérience», se satisfait Traoré Moussa qui a fait le choix de ramener l’événement sur les bords de la lagune Ebrié. «Peut-être, l’an prochain nous aviserons», projette le président de l’Unjci – sollicité par certaines autorités qui souhaitent accueillir dans leurs communes la nuit de la communication. «Au lendemain de l’Ebony de la 17è édition, nous allons voir s’il est possible de délocaliser», se veut prudent Traoré Moussa. Qui rassure que les autorités de San Pedro sont désireuses d’accueillir la soirée Ebony. «Nous analysons, dit Traoré Moussa, toutes les options».
Koné SAYDOO
Rencontré à son bureau hier au Plateau, Traoré Moussa, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire(Unjci), invite les journalistes à retirer leurs cartes. «Ce n’était pas évident», s’est-il excusé parce qu’il n’y aura que 600 places disponibles. 450 places reviennent aux journalistes et les partenaires ont droit à 150 places.
«Quelle contribution des journalistes pour l’émergence de l’Ivoirien nouveau ?», est le thème-programme de la 17è édition. «Nous sommes près de mille journalistes. Nous allons faire de l’arbitrage nécessaire pour satisfaire le maximum de personnes. Je tiens donc à présenter mes excuses à ceux qui n’auront pas droit à la salle», a-t-il plaidé. «Normalement, admet Traoré Moussa, il ne devrait pas y avoir de problèmes» à cette 17è soirée qui sera diffusée en direct à la Radiodiffusion ivoirienne (RTI1).
«Nous sommes en train de régler les derniers détails», rassure le président de l’Unjci qui a mis fin à certaines habitudes. «Depuis que je suis à la tête de l’Unjci, j’ai décidé que personne ne paie pour rentrer à la soirée des Ebony. Avant, les tables étaient vendues à un million de Fcfa, j’ai mis fin à cela parce que j’estime qu’il y a des partenaires qui ont déjà payé. Il faut donner gratuitement ces places aux journalistes. C’est à cause d’eux que les partenaires ont payé».
OMAR FARUK OSMAN A ABIDJAN VENDREDI
Cette année, l’invité spécial est le journaliste somalien Omar Faruk Osman. Il est le secrétaire général de l’Union nationale des journalistes de Somalie et past-président de la Fédération africaine des journalistes (Faj). Omar Faruk Osman sera à Abidjan demain, vendredi. L’inviter à la 17è édition des Ebony, c’est, souligne Traoré Moussa, ‘’rendre hommage aux journalistes qui se battent pour la liberté de la presse». Dans l’exercice de sa fonction, Farouk a plusieurs fois échappé à la mort. «C’est un journaliste qui se bat pour l’amélioration des conditions de vie des journalistes sur le continent. Nous avons estimé que cette année, il fallait magnifier la liberté de la presse», justifie Traoré Moussa qui ajoute qu’’’aucun journaliste n’est en prison en Côte d’Ivoire ni tué dans l’exercice de sa fonction’’. «Pour mieux apprécier cela, nous faisons venir des journalistes qui se battent au quotidien», relève le président de l’Unjci.
APRES YAMOUSSOUKRO, SAN PEDRO FAIT DES YEUX DOUX A EBONY
L’expérience de la soirée Ebony à Yamoussoukro a été ‘’difficile’’, reconnaît Traoré Moussa. Ce sont plus de 500 journalistes qui y avaient été déplacés puis ‘’logés et nourris’’. «Ce n’était pas évident. Nous avons tenté l’expérience», se satisfait Traoré Moussa qui a fait le choix de ramener l’événement sur les bords de la lagune Ebrié. «Peut-être, l’an prochain nous aviserons», projette le président de l’Unjci – sollicité par certaines autorités qui souhaitent accueillir dans leurs communes la nuit de la communication. «Au lendemain de l’Ebony de la 17è édition, nous allons voir s’il est possible de délocaliser», se veut prudent Traoré Moussa. Qui rassure que les autorités de San Pedro sont désireuses d’accueillir la soirée Ebony. «Nous analysons, dit Traoré Moussa, toutes les options».
Koné SAYDOO