La Haye - La défense de Laurent Gbagbo a affirmé lundi
que son rival, le président ivoirien Alassane Ouattara, s’était emparé du
pouvoir "par la force", au troisième jour du procès de l’ancien président pour
crimes contre l’humanité devant la Cour pénale internationale.
"Alassane Ouattara et ses soutiens voulaient se saisir du pouvoir par la
force et la bataille d’Abidjan est la mise en oeuvre de cette stratégie", a
déclaré Emmanuel Altit, avocat de M. Gbagbo, lors d’une audience publique à La
Haye, où siège la CPI.
ndy/jkb/jlb
que son rival, le président ivoirien Alassane Ouattara, s’était emparé du
pouvoir "par la force", au troisième jour du procès de l’ancien président pour
crimes contre l’humanité devant la Cour pénale internationale.
"Alassane Ouattara et ses soutiens voulaient se saisir du pouvoir par la
force et la bataille d’Abidjan est la mise en oeuvre de cette stratégie", a
déclaré Emmanuel Altit, avocat de M. Gbagbo, lors d’une audience publique à La
Haye, où siège la CPI.
ndy/jkb/jlb