La Haye - La France ne voulait pas d’une "paix négociée" lors de la crise ivoirienne de 2010-2011, a affirmé lundi devant la Cour pénale internationale la défense de l’ex-président Laurent Gbagbo, interpellé sous les bombes françaises en avril 2011.
"La France ne voulait pas d’une paix négociée", a déclaré Emmanuel Altit, avocat de M. Gbagbo, accusant Paris d’avoir préparé "en sous-main" l’offensive ayant mené à la chute de l’ancien président.
ndy/jkb/jlb
"La France ne voulait pas d’une paix négociée", a déclaré Emmanuel Altit, avocat de M. Gbagbo, accusant Paris d’avoir préparé "en sous-main" l’offensive ayant mené à la chute de l’ancien président.
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