Une fin de semaine chargée pour le secrétaire général de l’UDPCI, Tchagba Bougui Laurent qui était les jeudis 4 et vendredi 5 février 2016 dans la région du Tonkpi avant de se rendre le samedi à Yamoussoukro. Il était dans ces deux zones pour présider l’assemblée générale du secrétariat régional de son parti et celle de l’union des enseignants dans la capitale de la région du Bélier. Il n’a pas manqué de se livrer à un pèlerinage à Kabacouma, village natale de l’ex chef de l’Etat, Robert Guéi, père fondateur du parti, assassiné le 19 septembre 2002. Le secrétaire général du parti Arc-en-ciel a déposé une gerbe de fleurs sur le caveau du défunt et a eu un échange avec la famille éplorée.
L’Assemblée général du secrétariat régional UDPCI de la région du Tonkpi s’est tenue le vendredi 5 février 2016, dans la salle de conférence du Collège Catholique des saints martyrs de l’Ouganda de Man (ex collège catholique garçon). Une rencontre placé sous la présidence de Thagba Bougui Laurent, secrétaire général de cette famille politique. Mais avant d’assumer cette responsabilité, il s’est rendu, la veille, jeudi 4 février 2016, à Kaboucouma, village natal du Général Robert Guéi, père fondateur du parti Arc-en-ciel, assassiné le 19 septembre 2002. Il devrait y déposer une gerbe de fleurs sur la tombe du disparu et avoir un entretien avec les membres de la famille affligée. C’est donc aux alentours de 15 heures 30 minutes qu’il a foulé le sol de ce village, accompagné d’une forte délégation composé de ses adjoints, des élus et cadres de la région ainsi que des membres du secrétariat régional UDPCI de la région du Tonkpi. C’est une famille mobilisée du Général Robert Guéi, accompagnée d’un groupe de danse folklorique qui l’attendait devant le caveau du défunt. L’hôte de Kabacouma et sa délégation se sont inclinés sur la tombe avant de procéder au dépôt des fleurs. S’en est suivi une rencontre avec la famille de Guéi sous l’appatam construit au sein de la résidence de l’ex chef de l’Etat, à Kabacouma. Un lieu envahit d’ailleurs par nombre des habitants de cette bourgade qui ne voulait pas se laisser compter l’événement. C’est le maire de Biankouma, Maniga Gba Jean Jacques qui prendra en premier la parole pour souhaiter la bienvenue au secrétaire général de l’UDPCI. ‘’Nous sommes heureux de vous accueillir à Kabacouma. Les populations de ce village vous souhaite la bienvenue et vous couvre de leurs bénédictions’’, a déclaré le maire, non sans avoir demandé à l’hôte, comme cela est de tradition, les motifs de sa visite. ‘’Je suis ici, en pèlerinage dans le village natal de mon père, de mon parrain politique. Cela fait quelques temps que j’ai été nommé secrétaire général du parti politique qu’il a crée. Il était pour moi une obligation de venir me recueillir sur sa tombe. Prendre ses bénédictions pour réussir la mission qui m’a été assigné. Avoir aussi la force de continuer le bon combat qu’il menait pour le bien de la Côte d’Ivoire et des Ivoiriens. C’est tout jeune qu’un de mes oncles m’a envoyé à ses côtés pour apprendre. Je puis vous dire que le Général Guéi a été un bon et grand serviteur de l’Etat de Côte d’Ivoire. Il a aimé ce pays et ses habitants. Toute sa vie, il n’a voulu que du bien pour son pays. Soyons tous fier de lui. Mais en même temps, je suis aussi venu, pour que vous, ses parents, m’apportiez aussi vos bénédictions pour que nous ayons davantage de vigueur pour soutenir son fils Mabri, dans la poursuite des actions du Général pour une Côte d’Ivoire prospère et pacifique’’, a annoncé Tchagba Bougui Laurent. Message bien perçu par la famille de Guéi qui l’a félicité et bénie avant de lui poser quelques doléances dont l’illustre hôte a pris l’engagement de les satisfaire. Mais avant, le secrétaire général de l’UDPCI a fait d’importants dons à la famille. C’est plus de deux heures qu’il aura passé avec qu’elle avant d’aller présenter ses civilités au préfet de Biankouma.
Les militants de la région du Tonkpi revigorés
Le lendemain, vendredi 5 février 2016, avant la grande rencontre avec le secrétariat régional du Tonkpi, les élus et cadres, les secrétaires de section UDPCI, J-UDPCI et UF-UDPCI de chaque coordination les présidents de coordinations et les enseignants, Tchagba Laurent est allé très tôt le matin, à la rencontre de Monseigneur Bebi Gnéba Gaspard et l’imam Fofana Aboubakar. A ces deux guides religieux, il a expliqué les motifs de sa présence à Man, capitale de la région du Tonkpi, et annoncer venu prendre leurs bénédictions avant sa rencontre avec les militants. Soutiens qu’il a reçus. C’est donc dans une salle de conférence archi comble du collège catholique des saints martyrs de l’Ouganda qu’il s’est présenté pour exposer l’ordre du jour de la rencontre. Un ordre du jour qui tournait autour de 3 points. A savoir, information, implantation du parti par le renouvellement des structures de base et questions diverses. Après quoi, la suite de la réunion s’est tenue loin des regards et des caméras des journalistes. Au sortir de ce conclave, c’est un secrétaire général détendu qui s’est prêté aux questions des journalistes qui voulait en connaitre les moindres détails. ‘’Nous sommes venus entendre les militants, recenser leurs besoins et relever leurs préoccupations. La région du Tonkpi est le bastion de l’UDPCI et elle doit le demeurer. Nous avons décidé d’y opérer une razzia aux cours des prochaines élections législatives. Mais sachez que nous allons rendre visite aux autres secrétariats régionaux dans les jours à venir, parce que l’UDPCI va montrer qu’elle est une force politique qui compte sur le plan national et qui prendra le pouvoir en 2020 avec Dr Albert Toikeusse Mabri’’, a confié Tchagba Laurent. En marge de cette rencontre, le secrétaire général de l’UDPCI a eu une rencontre avec les différentes communautés ethniques de la ville de Man, notamment les Senoufos, les Wês, les Dans…etc. Relevons que le secrétaire général de l’UDPCI était accompagné dans cette tournée politique par ses adjoints dont le chef d’orchestre des activités politiques de ce parti, le 9ème secrétaire général adjoint, Coulibaly Donadenin Fologo, Dely Mamadou, Famoussa Coulibaly, Evelyne Taly, Yao Kouadio Séraphin, Yao Kouadio…et la présidente de l’union des femmes, Mme Fara Soro epse Coulibaly. Etaient aussi présents, au titre des élus et cadres, Dr Flindé Albert, Seu Tia Alain, Vehi Touré, l’honorable Mahi Clarisse, Bamba Mousso…
Les enseignants se préparent pour les législatives
Les enseignants proches de l’UDPCI sont venus de toutes les contrées de la Côte d’Ivoire et ont pris d’assaut, la salle des fêtes de la mairie de Yamoussoukro. Ils répondaient ainsi à l’appel du bureau exécutif de l’Union des enseignants de cette formation politique qui y organisait une Assemblé générale, présidé par Tchagba Bougui Laurent, secrétaire général du parti. Une rencontre qui avait pour thème : ‘’contribution des enseignants sur le débat de l’alternance en 2020’’. Deux sous thèmes ont meublé cette réunion. ‘’Vision de l’enseignement dans la politique de l’UDPCI’’ et ‘’dispositions pratiques pour les élections à venir’’. C’est après avoir planché sur ces thématiques que les enseignants se sont présentés devant le secrétaire général de leur parti. C’est Dr N’Dri Antoine, secrétaire régional UDPCI de la région du Bélier qui prendra en premier la parole. ‘’Monsieur le secrétaire général. Nous vous souhaitons la bienvenue dans notre cité au moment où les enseignants militants de notre parti réfléchissent sur les stratégies qui permettront notre victoire en 2020. C’est pourquoi, je voudrais féliciter les enseignants pour leur dynamisme et je tiens à les encourager’’, a affirmé le secrétaire régional. A sa suite, c’est Mongué Emmanuel, président du comité d’organisation qui a expliqué que c’est la première fois, depuis le premier congrès de l’UE-UDPCI que se tient une assemblée générale qui permet de réunir les enseignants proches de l’UDPCI. De telles initiatives que l’union des enseignants de cette famille politique compte perpétuer jusqu’aux élections à venir et contribuer à la brillante victoire du Président Mabri aux élections présidentielles de 2020. Dr Diallo Moussa Mamadou, président de l’UE-UDPCI qui l’a succédé, a présenté un bilan à mi-parcours du bureau exécutif qu’il dirige depuis un an. Un bilan qui tourne autour d’intenses activités politiques notamment avec la mobilisation des enseignants autour des idéaux du parti, la formation des militants à la pratique électorale et des appels à instaurer des cotisations dans les coordinations et secrétariats régionaux afin de se donner les moyens d’être plus actif sur le terrain. Par la suite, les enseignants ont remis un livre blanc contenant leurs préoccupations et suggestions au secrétaire général avant de lire deux motions adressées au Président de la République, Alassane Ouattara et au Président de l’UDPCI, Dr Albert Toikeusse Mabri. Dans celle concernant le chef de l’Etat, ils l’ont félicité pour sa lumineuse réélection en octobre 2015 et l’ont encouragé à poursuivre sa politique de développement de la Côte d’Ivoire. Au Président Mabri, en plus de le féliciter ‘’pour son abnégation, son sens du devoir et son dévouement au travail. Tout ce qui renforce la crédibilité du parti’’, l’UE-UDPCI l’a ‘’encouragé à continuer le combat pour obtenir le soutien du RHDP, des Ivoiriens et Ivoiriennes pour la présidentielle de 2020 pour garantir la stabilité, la sécurité et la paix en Côte d’Ivoire’’. Ils le ‘’rassurent que tout sera mis en œuvre pour lui garantir la disponibilité des enseignants, leur soutien indéfectible et leur engagement à ses côtés pour tous les combats politiques surtout celui de la victoire aux élections présidentielles de 2020’’. Les enseignants proches de l’UDPCI ont promis de donner une cinquantaine d’élus au parti aux cours des élections législatives et locales à venir. Tchagba Bougui Laurent s’est réjouit de l’engagement et du dynamisme des enseignants proches de son parti. ‘’Il y’a 3 instruments importants dans une formation politique. La jeunesse, les enseignants et les femmes. Vous êtes le poumon du parti. C’est pourquoi en tant que secrétaire général, vous êtes la prunelle de nos yeux. Je vous félicite et vous demande de vous organiser davantage parce que nous devons gagner en 2020’’, a soutenu le secrétaire général de l’UDPCI. Lui qui après son temps de parole, a procédé à l’investiture des coordinations de l’UE-UDPCI et à la remise de kits contenant leur feuille de route.
La jeunesse tonifiée pour faire gagner Mabri en 2020
‘’Tu as fait gagner Alassane Ouattara à la présidentielle. Il n’y a pas de raison que tu ne puisses pas en faire de même avec Albert Toikeusse Mabri’’, c’est cet appel à l’action reçu du Secrétaire général de son parti Tchagba Bougui Laurent qu’il représentait, que le maire de Guitry par ailleurs secrétaire général adjoint a lancé, dimanche 7 février 2016, à Franck Adiko le président de la jeunesse de l’UDPCI. C’était à Yopougon, au cours de l’assemblée générale des jeunes du parti arc-en-ciel. Pour le mandaté de Tchagba Laurent, c’est un devoir dans la mesure où Albert Toikeusse Mabri est le leader du parti dont Franck Adiko est le président des jeunes, et qui par ailleurs, ambitionne devenir président de la République de Côte d’Ivoire. En tout cas, le maire de Guitry dit compter sur le leader de la J-UDPCI. ‘’Tu en es capable et le secrétaire général me dit de vous dire à toi et tes collaborateurs de la J-UDPCI, qu’il compte sur vous’’, a-t-il exhorté. L’unification du RHDP a aussi été un sujet évoqué par Yao Kouadio. Pour lui, dans cette fusion à venir, il ne faut pas se faire d’illusion car il s’agira de montrer la capacité individuelle de chaque parti membre du RHDP. ‘’Chacun aura ce à quoi il a droit’’ et les relations tourneront autour du ‘’donner et du recevoir’’, a-t-il dit avant d’inviter les militants de son parti à la tâche pour ne pas être à la ‘’remorque’’. Toute chose qui selon lui passe par avoir de nombreux députés à l’Assemblée nationale. Mais qui également, poursuit-il, aidera à faire choisir leur leader, Albert Toikeusse Mabri comme candidat unique au niveau du futur RHDP fusionné. ‘’ Notre président Mabri a toutes les qualités pour être le successeur du président Ouattara. Mais il faut travailler à faire en sorte qu’il soit choisi comme le candidat de tous’’, a soutenu Yao Kouadio. Le maire UDPCI de Guitry a en outre invité ses militants à ne point se laisser abattre par les réaménagements faits dans le nouveau gouvernement. Pour lui, la solution est de travailler pour arriver au pouvoir d’Etat avec les moyens démocratiques sans se minimiser à l’image de sa personne qui dira-t-il, a battu la liste commune PDCI-RDR qui lui était adversaire lors de l’élection municipale à Guitry. ‘’Arrêtons de pleurnicher pour un colibri et cherchons à tuer l’éléphant pour que chacun mange à satiété’’, a-t-il dit sous un tonnerre d’applaudissement des responsables des jeunesses de son parti, seuls conviés à prendre part à cette rencontre. Qui aux dires de Franck Adiko avait pour but de faire le bilan de cette structure et de donner les orientations pour les défis à venir. Selon le leader de la J-UDPCI, les missions à lui confiées au cours du dernier congrès de son parti étaient de contribuer à la réélection du président Ouattara et procéder à l’implantation sur le terrain pour le défi de 2020. Des tâches qui à l’en croire, ont été remplies surtout en ce qui concerne la réélection du candidat du RHDP. ‘’J’ai été et je suis le président des jeunes du RHDP. J’ai été aussi le seul directeur de campagne de Ouattara en charge de la jeunesse des partis membres du RHDP. Nous avons été à la hauteur en ce qui concerne la première mission’’, a-t-il dit. S’agissant de la seconde mission, Franck Adiko a indiqué qu’elle est entamé et en de bonne voie. Il a pour ce faire informé des aménagements récents faits au niveau de son bureau, qui compte désormais 45 membres qu’il a présenté du reste.
L’Assemblée général du secrétariat régional UDPCI de la région du Tonkpi s’est tenue le vendredi 5 février 2016, dans la salle de conférence du Collège Catholique des saints martyrs de l’Ouganda de Man (ex collège catholique garçon). Une rencontre placé sous la présidence de Thagba Bougui Laurent, secrétaire général de cette famille politique. Mais avant d’assumer cette responsabilité, il s’est rendu, la veille, jeudi 4 février 2016, à Kaboucouma, village natal du Général Robert Guéi, père fondateur du parti Arc-en-ciel, assassiné le 19 septembre 2002. Il devrait y déposer une gerbe de fleurs sur la tombe du disparu et avoir un entretien avec les membres de la famille affligée. C’est donc aux alentours de 15 heures 30 minutes qu’il a foulé le sol de ce village, accompagné d’une forte délégation composé de ses adjoints, des élus et cadres de la région ainsi que des membres du secrétariat régional UDPCI de la région du Tonkpi. C’est une famille mobilisée du Général Robert Guéi, accompagnée d’un groupe de danse folklorique qui l’attendait devant le caveau du défunt. L’hôte de Kabacouma et sa délégation se sont inclinés sur la tombe avant de procéder au dépôt des fleurs. S’en est suivi une rencontre avec la famille de Guéi sous l’appatam construit au sein de la résidence de l’ex chef de l’Etat, à Kabacouma. Un lieu envahit d’ailleurs par nombre des habitants de cette bourgade qui ne voulait pas se laisser compter l’événement. C’est le maire de Biankouma, Maniga Gba Jean Jacques qui prendra en premier la parole pour souhaiter la bienvenue au secrétaire général de l’UDPCI. ‘’Nous sommes heureux de vous accueillir à Kabacouma. Les populations de ce village vous souhaite la bienvenue et vous couvre de leurs bénédictions’’, a déclaré le maire, non sans avoir demandé à l’hôte, comme cela est de tradition, les motifs de sa visite. ‘’Je suis ici, en pèlerinage dans le village natal de mon père, de mon parrain politique. Cela fait quelques temps que j’ai été nommé secrétaire général du parti politique qu’il a crée. Il était pour moi une obligation de venir me recueillir sur sa tombe. Prendre ses bénédictions pour réussir la mission qui m’a été assigné. Avoir aussi la force de continuer le bon combat qu’il menait pour le bien de la Côte d’Ivoire et des Ivoiriens. C’est tout jeune qu’un de mes oncles m’a envoyé à ses côtés pour apprendre. Je puis vous dire que le Général Guéi a été un bon et grand serviteur de l’Etat de Côte d’Ivoire. Il a aimé ce pays et ses habitants. Toute sa vie, il n’a voulu que du bien pour son pays. Soyons tous fier de lui. Mais en même temps, je suis aussi venu, pour que vous, ses parents, m’apportiez aussi vos bénédictions pour que nous ayons davantage de vigueur pour soutenir son fils Mabri, dans la poursuite des actions du Général pour une Côte d’Ivoire prospère et pacifique’’, a annoncé Tchagba Bougui Laurent. Message bien perçu par la famille de Guéi qui l’a félicité et bénie avant de lui poser quelques doléances dont l’illustre hôte a pris l’engagement de les satisfaire. Mais avant, le secrétaire général de l’UDPCI a fait d’importants dons à la famille. C’est plus de deux heures qu’il aura passé avec qu’elle avant d’aller présenter ses civilités au préfet de Biankouma.
Les militants de la région du Tonkpi revigorés
Le lendemain, vendredi 5 février 2016, avant la grande rencontre avec le secrétariat régional du Tonkpi, les élus et cadres, les secrétaires de section UDPCI, J-UDPCI et UF-UDPCI de chaque coordination les présidents de coordinations et les enseignants, Tchagba Laurent est allé très tôt le matin, à la rencontre de Monseigneur Bebi Gnéba Gaspard et l’imam Fofana Aboubakar. A ces deux guides religieux, il a expliqué les motifs de sa présence à Man, capitale de la région du Tonkpi, et annoncer venu prendre leurs bénédictions avant sa rencontre avec les militants. Soutiens qu’il a reçus. C’est donc dans une salle de conférence archi comble du collège catholique des saints martyrs de l’Ouganda qu’il s’est présenté pour exposer l’ordre du jour de la rencontre. Un ordre du jour qui tournait autour de 3 points. A savoir, information, implantation du parti par le renouvellement des structures de base et questions diverses. Après quoi, la suite de la réunion s’est tenue loin des regards et des caméras des journalistes. Au sortir de ce conclave, c’est un secrétaire général détendu qui s’est prêté aux questions des journalistes qui voulait en connaitre les moindres détails. ‘’Nous sommes venus entendre les militants, recenser leurs besoins et relever leurs préoccupations. La région du Tonkpi est le bastion de l’UDPCI et elle doit le demeurer. Nous avons décidé d’y opérer une razzia aux cours des prochaines élections législatives. Mais sachez que nous allons rendre visite aux autres secrétariats régionaux dans les jours à venir, parce que l’UDPCI va montrer qu’elle est une force politique qui compte sur le plan national et qui prendra le pouvoir en 2020 avec Dr Albert Toikeusse Mabri’’, a confié Tchagba Laurent. En marge de cette rencontre, le secrétaire général de l’UDPCI a eu une rencontre avec les différentes communautés ethniques de la ville de Man, notamment les Senoufos, les Wês, les Dans…etc. Relevons que le secrétaire général de l’UDPCI était accompagné dans cette tournée politique par ses adjoints dont le chef d’orchestre des activités politiques de ce parti, le 9ème secrétaire général adjoint, Coulibaly Donadenin Fologo, Dely Mamadou, Famoussa Coulibaly, Evelyne Taly, Yao Kouadio Séraphin, Yao Kouadio…et la présidente de l’union des femmes, Mme Fara Soro epse Coulibaly. Etaient aussi présents, au titre des élus et cadres, Dr Flindé Albert, Seu Tia Alain, Vehi Touré, l’honorable Mahi Clarisse, Bamba Mousso…
Les enseignants se préparent pour les législatives
Les enseignants proches de l’UDPCI sont venus de toutes les contrées de la Côte d’Ivoire et ont pris d’assaut, la salle des fêtes de la mairie de Yamoussoukro. Ils répondaient ainsi à l’appel du bureau exécutif de l’Union des enseignants de cette formation politique qui y organisait une Assemblé générale, présidé par Tchagba Bougui Laurent, secrétaire général du parti. Une rencontre qui avait pour thème : ‘’contribution des enseignants sur le débat de l’alternance en 2020’’. Deux sous thèmes ont meublé cette réunion. ‘’Vision de l’enseignement dans la politique de l’UDPCI’’ et ‘’dispositions pratiques pour les élections à venir’’. C’est après avoir planché sur ces thématiques que les enseignants se sont présentés devant le secrétaire général de leur parti. C’est Dr N’Dri Antoine, secrétaire régional UDPCI de la région du Bélier qui prendra en premier la parole. ‘’Monsieur le secrétaire général. Nous vous souhaitons la bienvenue dans notre cité au moment où les enseignants militants de notre parti réfléchissent sur les stratégies qui permettront notre victoire en 2020. C’est pourquoi, je voudrais féliciter les enseignants pour leur dynamisme et je tiens à les encourager’’, a affirmé le secrétaire régional. A sa suite, c’est Mongué Emmanuel, président du comité d’organisation qui a expliqué que c’est la première fois, depuis le premier congrès de l’UE-UDPCI que se tient une assemblée générale qui permet de réunir les enseignants proches de l’UDPCI. De telles initiatives que l’union des enseignants de cette famille politique compte perpétuer jusqu’aux élections à venir et contribuer à la brillante victoire du Président Mabri aux élections présidentielles de 2020. Dr Diallo Moussa Mamadou, président de l’UE-UDPCI qui l’a succédé, a présenté un bilan à mi-parcours du bureau exécutif qu’il dirige depuis un an. Un bilan qui tourne autour d’intenses activités politiques notamment avec la mobilisation des enseignants autour des idéaux du parti, la formation des militants à la pratique électorale et des appels à instaurer des cotisations dans les coordinations et secrétariats régionaux afin de se donner les moyens d’être plus actif sur le terrain. Par la suite, les enseignants ont remis un livre blanc contenant leurs préoccupations et suggestions au secrétaire général avant de lire deux motions adressées au Président de la République, Alassane Ouattara et au Président de l’UDPCI, Dr Albert Toikeusse Mabri. Dans celle concernant le chef de l’Etat, ils l’ont félicité pour sa lumineuse réélection en octobre 2015 et l’ont encouragé à poursuivre sa politique de développement de la Côte d’Ivoire. Au Président Mabri, en plus de le féliciter ‘’pour son abnégation, son sens du devoir et son dévouement au travail. Tout ce qui renforce la crédibilité du parti’’, l’UE-UDPCI l’a ‘’encouragé à continuer le combat pour obtenir le soutien du RHDP, des Ivoiriens et Ivoiriennes pour la présidentielle de 2020 pour garantir la stabilité, la sécurité et la paix en Côte d’Ivoire’’. Ils le ‘’rassurent que tout sera mis en œuvre pour lui garantir la disponibilité des enseignants, leur soutien indéfectible et leur engagement à ses côtés pour tous les combats politiques surtout celui de la victoire aux élections présidentielles de 2020’’. Les enseignants proches de l’UDPCI ont promis de donner une cinquantaine d’élus au parti aux cours des élections législatives et locales à venir. Tchagba Bougui Laurent s’est réjouit de l’engagement et du dynamisme des enseignants proches de son parti. ‘’Il y’a 3 instruments importants dans une formation politique. La jeunesse, les enseignants et les femmes. Vous êtes le poumon du parti. C’est pourquoi en tant que secrétaire général, vous êtes la prunelle de nos yeux. Je vous félicite et vous demande de vous organiser davantage parce que nous devons gagner en 2020’’, a soutenu le secrétaire général de l’UDPCI. Lui qui après son temps de parole, a procédé à l’investiture des coordinations de l’UE-UDPCI et à la remise de kits contenant leur feuille de route.
La jeunesse tonifiée pour faire gagner Mabri en 2020
‘’Tu as fait gagner Alassane Ouattara à la présidentielle. Il n’y a pas de raison que tu ne puisses pas en faire de même avec Albert Toikeusse Mabri’’, c’est cet appel à l’action reçu du Secrétaire général de son parti Tchagba Bougui Laurent qu’il représentait, que le maire de Guitry par ailleurs secrétaire général adjoint a lancé, dimanche 7 février 2016, à Franck Adiko le président de la jeunesse de l’UDPCI. C’était à Yopougon, au cours de l’assemblée générale des jeunes du parti arc-en-ciel. Pour le mandaté de Tchagba Laurent, c’est un devoir dans la mesure où Albert Toikeusse Mabri est le leader du parti dont Franck Adiko est le président des jeunes, et qui par ailleurs, ambitionne devenir président de la République de Côte d’Ivoire. En tout cas, le maire de Guitry dit compter sur le leader de la J-UDPCI. ‘’Tu en es capable et le secrétaire général me dit de vous dire à toi et tes collaborateurs de la J-UDPCI, qu’il compte sur vous’’, a-t-il exhorté. L’unification du RHDP a aussi été un sujet évoqué par Yao Kouadio. Pour lui, dans cette fusion à venir, il ne faut pas se faire d’illusion car il s’agira de montrer la capacité individuelle de chaque parti membre du RHDP. ‘’Chacun aura ce à quoi il a droit’’ et les relations tourneront autour du ‘’donner et du recevoir’’, a-t-il dit avant d’inviter les militants de son parti à la tâche pour ne pas être à la ‘’remorque’’. Toute chose qui selon lui passe par avoir de nombreux députés à l’Assemblée nationale. Mais qui également, poursuit-il, aidera à faire choisir leur leader, Albert Toikeusse Mabri comme candidat unique au niveau du futur RHDP fusionné. ‘’ Notre président Mabri a toutes les qualités pour être le successeur du président Ouattara. Mais il faut travailler à faire en sorte qu’il soit choisi comme le candidat de tous’’, a soutenu Yao Kouadio. Le maire UDPCI de Guitry a en outre invité ses militants à ne point se laisser abattre par les réaménagements faits dans le nouveau gouvernement. Pour lui, la solution est de travailler pour arriver au pouvoir d’Etat avec les moyens démocratiques sans se minimiser à l’image de sa personne qui dira-t-il, a battu la liste commune PDCI-RDR qui lui était adversaire lors de l’élection municipale à Guitry. ‘’Arrêtons de pleurnicher pour un colibri et cherchons à tuer l’éléphant pour que chacun mange à satiété’’, a-t-il dit sous un tonnerre d’applaudissement des responsables des jeunesses de son parti, seuls conviés à prendre part à cette rencontre. Qui aux dires de Franck Adiko avait pour but de faire le bilan de cette structure et de donner les orientations pour les défis à venir. Selon le leader de la J-UDPCI, les missions à lui confiées au cours du dernier congrès de son parti étaient de contribuer à la réélection du président Ouattara et procéder à l’implantation sur le terrain pour le défi de 2020. Des tâches qui à l’en croire, ont été remplies surtout en ce qui concerne la réélection du candidat du RHDP. ‘’J’ai été et je suis le président des jeunes du RHDP. J’ai été aussi le seul directeur de campagne de Ouattara en charge de la jeunesse des partis membres du RHDP. Nous avons été à la hauteur en ce qui concerne la première mission’’, a-t-il dit. S’agissant de la seconde mission, Franck Adiko a indiqué qu’elle est entamé et en de bonne voie. Il a pour ce faire informé des aménagements récents faits au niveau de son bureau, qui compte désormais 45 membres qu’il a présenté du reste.