Abidjan - Le Président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko, et son bureau ont eu une séance de travail jeudi avec la mission d’évaluation stratégique des Nations Unies conduite par Samuel Gahigi, sous-directeur de la division Afrique au département des opérations de maintien de la paix, rapporte un communiqué de presse de la CEI transmis à l’AIP.
A cette occasion, M. Bakayoko a fait un bilan exhaustif des dernières activités de la CEI et évoqué les perspectives. Celles-ci concernent la mise à jour de la liste électorale de 2015 à savoir, la prise en compte des mutations survenues dans le corps électoral constitué en 2015, l’enrôlement de nouveaux requérants en Côte d’Ivoire et à l’étranger. Puis le référendum et enfin les législatives.
Après avoir énuméré les besoins spécifiques de la CEI en assistance électorale, il a souhaité bénéficier encore du soutien des Nations Unies. pour conduire à bonne fin les consultations électorales prévues pour cette année.
Pour sa part, le chef de délégation de la mission a félicité la CEI pour son succès lors de ses activités récentes. Il a expliqué que contrairement à la Côte d’Ivoire qui s’est remarquablement relevée, plusieurs crises perdurent encore sur le continent. Ce qui oblige les Nations Unies à revoir ses priorités.
« Il faut donc définir des priorités, comment procéder au retrait de l’ONUCI en capitalisant sur les élections de 2015 mais aussi en tenant compte des prochaines échéances électorales et également des enjeux sécuritaires au niveau national et sous régional. Il nous faut donc une bonne connaissance de tous les enjeux à venir », a développé le fonctionnaire onusien.
Il a insisté qu’avant ce retrait prévu à l’horizon 2017, sa mission soumettra fin mars au Conseil de sécurité des Nations Unies un rapport avec des options et un chronogramme. Samuel Gahigi a toutefois rassuré sur l’engagement des Nations Unies à accompagner la CEI dans sa mission.
« Ce n’est pas parce que l’ONUCI s’en va que les Nations unies se retirent du pays, nous verrons quelles sont les tâches résiduelles qui seront transférées à l’équipe-pays notamment avec le PNUD », a-t-il assuré.
cmas
A cette occasion, M. Bakayoko a fait un bilan exhaustif des dernières activités de la CEI et évoqué les perspectives. Celles-ci concernent la mise à jour de la liste électorale de 2015 à savoir, la prise en compte des mutations survenues dans le corps électoral constitué en 2015, l’enrôlement de nouveaux requérants en Côte d’Ivoire et à l’étranger. Puis le référendum et enfin les législatives.
Après avoir énuméré les besoins spécifiques de la CEI en assistance électorale, il a souhaité bénéficier encore du soutien des Nations Unies. pour conduire à bonne fin les consultations électorales prévues pour cette année.
Pour sa part, le chef de délégation de la mission a félicité la CEI pour son succès lors de ses activités récentes. Il a expliqué que contrairement à la Côte d’Ivoire qui s’est remarquablement relevée, plusieurs crises perdurent encore sur le continent. Ce qui oblige les Nations Unies à revoir ses priorités.
« Il faut donc définir des priorités, comment procéder au retrait de l’ONUCI en capitalisant sur les élections de 2015 mais aussi en tenant compte des prochaines échéances électorales et également des enjeux sécuritaires au niveau national et sous régional. Il nous faut donc une bonne connaissance de tous les enjeux à venir », a développé le fonctionnaire onusien.
Il a insisté qu’avant ce retrait prévu à l’horizon 2017, sa mission soumettra fin mars au Conseil de sécurité des Nations Unies un rapport avec des options et un chronogramme. Samuel Gahigi a toutefois rassuré sur l’engagement des Nations Unies à accompagner la CEI dans sa mission.
« Ce n’est pas parce que l’ONUCI s’en va que les Nations unies se retirent du pays, nous verrons quelles sont les tâches résiduelles qui seront transférées à l’équipe-pays notamment avec le PNUD », a-t-il assuré.
cmas