La Commission électorale indépendante (CEI), a plaidé jeudi pour un "soutien" de l’Opération des nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) pour les législatives 2016, après "un appui logistique et sécuritaire" lors de la présidentielle d'octobre 2015.
"Nous osons espérer que la CEI pourra bénéficier encore une fois du soutien du système des nations unies pour conduire à bonne fin les consultations électorales prévues pour cette année 2016", a souhaité son président Youssouf Bakayoko, lors d’une rencontre avec la mission d’évaluation stratégique de l’Organisation.
Pour M. Bakayoko, "L’Onuci a fortement contribué à créer des conditions propices à la tenue d’un scrutin présidentiel libre et transparent" en octobre 2015.
Quelque 34.000 soldats dont 6.000 casques bleus avaient été mobilisés pour sécuriser cette élection.
La CEI devrait procéder cette année à la mise à jour de la liste électorale de 2015 avant un référendum pour la révision de la constitution ivoirienne et les législatives, a rappelé le président.
"Ce n’est pas parce que l’Onuci s’en va que les nations unies se retirent" de la Côte d’Ivoire, a affirmé le sous-directeur de la division Afrique des opérations de maintien de la paix Samuel Gahigi, ajoutant que "des tâches (seront) transférées au Pnud (Programme des nations unies pour le développement)".
Le Conseil de sécurité de l’Onu a décidé de réduire "l’effectif de (sa) composante militaire" qui devrait passer de 5.437 à 4.000 hommes d’ici au 31 mars 2016, après le "succès" de la présidentielle et les "progrès considérables" réalisés en Côte d’Ivoire.
EFI
"Nous osons espérer que la CEI pourra bénéficier encore une fois du soutien du système des nations unies pour conduire à bonne fin les consultations électorales prévues pour cette année 2016", a souhaité son président Youssouf Bakayoko, lors d’une rencontre avec la mission d’évaluation stratégique de l’Organisation.
Pour M. Bakayoko, "L’Onuci a fortement contribué à créer des conditions propices à la tenue d’un scrutin présidentiel libre et transparent" en octobre 2015.
Quelque 34.000 soldats dont 6.000 casques bleus avaient été mobilisés pour sécuriser cette élection.
La CEI devrait procéder cette année à la mise à jour de la liste électorale de 2015 avant un référendum pour la révision de la constitution ivoirienne et les législatives, a rappelé le président.
"Ce n’est pas parce que l’Onuci s’en va que les nations unies se retirent" de la Côte d’Ivoire, a affirmé le sous-directeur de la division Afrique des opérations de maintien de la paix Samuel Gahigi, ajoutant que "des tâches (seront) transférées au Pnud (Programme des nations unies pour le développement)".
Le Conseil de sécurité de l’Onu a décidé de réduire "l’effectif de (sa) composante militaire" qui devrait passer de 5.437 à 4.000 hommes d’ici au 31 mars 2016, après le "succès" de la présidentielle et les "progrès considérables" réalisés en Côte d’Ivoire.
EFI