Une délégation de l’Organisation des Nations unies (Onu) a eu une séance de travail, hier, avec la direction du Front populaire ivoirien (Fpi) conduite par Pascal Affi N’Guessan. Au menu de la rencontre qui s’est tenue au domicile pillé et saccagé du président de l’ex-parti au pouvoir, la situation sociopolitique en Côte d’Ivoire. «C’est une visite de courtoisie au président du Fpi et à son équipe pour échanger sur leur point de vue sur la situation dans le pays », a confié Samuel Gahigi, chef de la délégation onusienne. L’émissaire de l’organisation mondiale a ajouté qu’il s’agit d’«un échange en prévision du renouvellement du mandat de l’Onu » en Côte d’Ivoire.
Pour sa part, le président du Fpi a indiqué que son parti est préoccupé par la problématique de la Justice et la réconciliation, la sécurité et les réformes institutionnelles. «Nous avons insisté sur la problématique de la justice et la réconciliation nationale, la sécurité et les réformes constitutionnelles. Le processus de paix bute sur la question de la Justice. Le président Laurent Gbagbo et le ministre Charles Blé Goudé ne peuvent pas être aux mains de la Cpi et qu’en face, on nous dise qu’on n’y enverra plus personne. La justice telle que menée ne peut pas favoriser la réconciliation. Il faut une justice équitable qui permet à la réconciliation d’avancer », a souligné Pascal Affi N’Guessan.
e président du Fpi était entouré de ses proches collaborateurs dont les vice-.présidents Raymond Abouo N’Dori, Michel Amani N’Guessan, la secrétaire générale Agnès Monnet et l’ambassadeur Alcide Djédjé, secrétaire national à la diplomatie et à la coopération internationale.
Jean Khalil Sella
Pour sa part, le président du Fpi a indiqué que son parti est préoccupé par la problématique de la Justice et la réconciliation, la sécurité et les réformes institutionnelles. «Nous avons insisté sur la problématique de la justice et la réconciliation nationale, la sécurité et les réformes constitutionnelles. Le processus de paix bute sur la question de la Justice. Le président Laurent Gbagbo et le ministre Charles Blé Goudé ne peuvent pas être aux mains de la Cpi et qu’en face, on nous dise qu’on n’y enverra plus personne. La justice telle que menée ne peut pas favoriser la réconciliation. Il faut une justice équitable qui permet à la réconciliation d’avancer », a souligné Pascal Affi N’Guessan.
e président du Fpi était entouré de ses proches collaborateurs dont les vice-.présidents Raymond Abouo N’Dori, Michel Amani N’Guessan, la secrétaire générale Agnès Monnet et l’ambassadeur Alcide Djédjé, secrétaire national à la diplomatie et à la coopération internationale.
Jean Khalil Sella