Abidjan - Un atelier d'élaboration des curricula pour la promotion de la paix à l'école s'est tenu à Grand Bassam à l'initiative du ministère de l’éducation nationale en collaboration avec l’UNESCO et la Fondation de la Shoah, afin d'y prévenir la violence.
"Il s’agit d’avoir des curricula qui permettront d’aider chacun à mettre en perspective, à ancrer les signes avant-coureurs de la violence", a argumenté le représentant-résident de l’UNESCO, Ydo Yao à l’ouverture de cet atelier, qui s’est tenu du 7 au 10 février, au Wharf Hôtel de Bassam sur le thème, "Formation des formateurs aux techniques et stratégies d’enseignement de prévention des conflits, des génocides et des violences de masses en partenariat avec l’UNESCO".
Pour Ydo, la prévention par l’éducation permet d’apprendre à déjouer les pièges de la rhétorique, à démonter la logique criminelle derrière les discours de haine. "Cette éducation constituera un excellent point de départ pour aborder des questions difficiles avec les élèves", a-t-il dit.
Le préfet de Gand-Bassam, Beudjé Djoman Mathias, représentant la ministre de l’Education nationale, Kandia Camara, a pour sa part, traduit la reconnaissance du Gouvernement ivoirien à la Fondation de la Shoah et à l’UNESCO pour leur contribution à la consolidation de la paix et de la cohésion sociale. L’atelier a pris fin mercredi.
(AIP)
ik/akn/ask
"Il s’agit d’avoir des curricula qui permettront d’aider chacun à mettre en perspective, à ancrer les signes avant-coureurs de la violence", a argumenté le représentant-résident de l’UNESCO, Ydo Yao à l’ouverture de cet atelier, qui s’est tenu du 7 au 10 février, au Wharf Hôtel de Bassam sur le thème, "Formation des formateurs aux techniques et stratégies d’enseignement de prévention des conflits, des génocides et des violences de masses en partenariat avec l’UNESCO".
Pour Ydo, la prévention par l’éducation permet d’apprendre à déjouer les pièges de la rhétorique, à démonter la logique criminelle derrière les discours de haine. "Cette éducation constituera un excellent point de départ pour aborder des questions difficiles avec les élèves", a-t-il dit.
Le préfet de Gand-Bassam, Beudjé Djoman Mathias, représentant la ministre de l’Education nationale, Kandia Camara, a pour sa part, traduit la reconnaissance du Gouvernement ivoirien à la Fondation de la Shoah et à l’UNESCO pour leur contribution à la consolidation de la paix et de la cohésion sociale. L’atelier a pris fin mercredi.
(AIP)
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