Les acteurs des marchés publics ont plaidé lundi à Dakar pour une "rationalisation du management de la commande publique", lors de cette table ronde sur le thème "Les neuf ans de la réforme des marchés publics dans l’espace Union monétaire ouest africaine (UEMOA)
"La commande publique est un enjeu financier de taille pour nos pays parce qu’elle représente près de 15% du Produit intérieur brut des pays membres de l’UEMOA. Ce qui représente des sommes importantes", a dit le directeur général de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP) du Sénégal, Saër Niang.
"Il est nécessaire de procéder à une correction des erreurs en établissant les insuffisances, en vue d’apporter les corrections qu’il faut pour accélérer les procédures», a réagi Adama Yacouba Touré, directeur exécutif de l’ARMP du Mali.
Plusieurs intervenants ont relevé, au cours des échanges, "le besoin d’accélérer les procédures" et "l’exigence de transparence".
L’ancien directeur de l’ARMP du Sénégal, Youssouf Sakho, a insisté sur la nécessité de faire "une mise à jour permanente" de la règlementation liée à l’attribution de la commande publique.
Pour lui, "il ne faut donc pas s’offusquer s’il y a une mise à jour permanente".
Le Sénégal assure la présidence Réseau africain des institutions de contrôle et de régulation des marchés publics, créé en 2010 à Dakar.
Ce réseau vise à doter ses membres d’outils de contrôle et de régulation pour moderniser et simplifier les procédures des marchés publics.
Les représentants d’institutions africaines de régulation participaient à une table ronde sur le thème "Les neuf ans de la réforme des marchés publics dans l’espace UEMOA : enjeux et perspectives", présidée par Diatourou Ndiaye, directeur de cabinet du Premier ministre sénégalais.
HAB
"La commande publique est un enjeu financier de taille pour nos pays parce qu’elle représente près de 15% du Produit intérieur brut des pays membres de l’UEMOA. Ce qui représente des sommes importantes", a dit le directeur général de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP) du Sénégal, Saër Niang.
"Il est nécessaire de procéder à une correction des erreurs en établissant les insuffisances, en vue d’apporter les corrections qu’il faut pour accélérer les procédures», a réagi Adama Yacouba Touré, directeur exécutif de l’ARMP du Mali.
Plusieurs intervenants ont relevé, au cours des échanges, "le besoin d’accélérer les procédures" et "l’exigence de transparence".
L’ancien directeur de l’ARMP du Sénégal, Youssouf Sakho, a insisté sur la nécessité de faire "une mise à jour permanente" de la règlementation liée à l’attribution de la commande publique.
Pour lui, "il ne faut donc pas s’offusquer s’il y a une mise à jour permanente".
Le Sénégal assure la présidence Réseau africain des institutions de contrôle et de régulation des marchés publics, créé en 2010 à Dakar.
Ce réseau vise à doter ses membres d’outils de contrôle et de régulation pour moderniser et simplifier les procédures des marchés publics.
Les représentants d’institutions africaines de régulation participaient à une table ronde sur le thème "Les neuf ans de la réforme des marchés publics dans l’espace UEMOA : enjeux et perspectives", présidée par Diatourou Ndiaye, directeur de cabinet du Premier ministre sénégalais.
HAB