Sur la convocation du Conseil syndical de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs (Cnec), une Assemblée générale s’est tenue le mercredi 17 février 2016 à l’Université Félix Houphouet-Boigny. D’importantes propositions ont été faites au cours de cette rentrée syndicale qui a mobilisé les enseignants et chercheurs des différents Instituts, des universités publiques.
Selon Johnson Kouassi Zamina, secrétaire général et porte-parole de la Cnec, «l’image d’Alassane Ouattara est en jeu». «Les promesses faites par le président Ouattara, le 1er mai 2015 devant le monde entier n’ont jamais été honorées. Il ne s’agit pas de faire les déclarations mais d’accompagner par les actions, c’est en cela qu’on l’appelle chef d’Etat», a-t-il justifié.
Aux dires de Johnson Kouassi Zamina, «le vendredi 1er mai 2015, le Chef de l’Etat a annoncé, lors de la fête de travail, la mise en place d’un Comité pour harmoniser nos primes de recherches». «Mais jusqu’à ce jour, Alassane Ouattara n’a encore rien fait», a-t-il dit. Puis Johnson Kouassi a ajouté qu’ils feront une tournée prévue du 05 au 07 mars 2016 dans les cinq universités ivoiriennes. Ensuite le 31 mars, d’importantes décisions seront prises en présence de tout le système universitaire et les grandes écoles. «Nous allons combattre nos ministres de tutelle, si nos intérêts sont en jeu. Prenons nos responsabilités, désormais plus de préavis de grève. Nous n’allons plus commencer une grève pour la suspendre», a déclaré Johnson Kouassi. Les enseignants ont profité de cette occasion pour présenter les membres du bureau de la Cnec. Pour rappel, la Cnec avait déclenché, une « grève illimitée » le mercredi 12 août 2015 pour exiger une revalorisation des primes de recherches et des salaires, liée à l’application du système Licence-master-doctorat (Lmd). Les grévistes exigeaient en outre, «la revalorisation et la trimestrialisation des primes de recherches» qu’ils perçoivent deux fois dans l’année en raison de 400.000 Fcfa par versement et un relèvement des heures supplémentaires fixées actuellement à 5.500 Fcfa pour les maîtres-assistants et à 7.000 Fcfa pour les professeurs titulaires.
Monique TANO
Selon Johnson Kouassi Zamina, secrétaire général et porte-parole de la Cnec, «l’image d’Alassane Ouattara est en jeu». «Les promesses faites par le président Ouattara, le 1er mai 2015 devant le monde entier n’ont jamais été honorées. Il ne s’agit pas de faire les déclarations mais d’accompagner par les actions, c’est en cela qu’on l’appelle chef d’Etat», a-t-il justifié.
Aux dires de Johnson Kouassi Zamina, «le vendredi 1er mai 2015, le Chef de l’Etat a annoncé, lors de la fête de travail, la mise en place d’un Comité pour harmoniser nos primes de recherches». «Mais jusqu’à ce jour, Alassane Ouattara n’a encore rien fait», a-t-il dit. Puis Johnson Kouassi a ajouté qu’ils feront une tournée prévue du 05 au 07 mars 2016 dans les cinq universités ivoiriennes. Ensuite le 31 mars, d’importantes décisions seront prises en présence de tout le système universitaire et les grandes écoles. «Nous allons combattre nos ministres de tutelle, si nos intérêts sont en jeu. Prenons nos responsabilités, désormais plus de préavis de grève. Nous n’allons plus commencer une grève pour la suspendre», a déclaré Johnson Kouassi. Les enseignants ont profité de cette occasion pour présenter les membres du bureau de la Cnec. Pour rappel, la Cnec avait déclenché, une « grève illimitée » le mercredi 12 août 2015 pour exiger une revalorisation des primes de recherches et des salaires, liée à l’application du système Licence-master-doctorat (Lmd). Les grévistes exigeaient en outre, «la revalorisation et la trimestrialisation des primes de recherches» qu’ils perçoivent deux fois dans l’année en raison de 400.000 Fcfa par versement et un relèvement des heures supplémentaires fixées actuellement à 5.500 Fcfa pour les maîtres-assistants et à 7.000 Fcfa pour les professeurs titulaires.
Monique TANO