Mamadou Sangafowa Coulibaly a officiellement ouvert le stand de l’Agriculture et du Développement rural au pavillon 5.2 qu’occupe sa délégation au cours de la 3 eme édition du Salon international de l’Agriculture
de Paris à la Porte de Versailles. Il a clairement affiché et fait connaitre ses ambitions : La promotion du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (Sietta ) qui se tiendra du 17 au 19 novembre prochain et du salon de l’Agriculture et des Ressources animales dont la quatrième édition dite de la maturité, est prévue pour 2017. Le SIETTA est une initiative du Conseil du coton et de l’anacarde soutenue par le ministère de l’industrie .Le premier défi que la Côte d’Ivoire veut relever en organisant ledit salon, c’est de parvenir comme le Vietnam deuxième exportateur de noix de cajou et première industrie mondiale de transformation de noix et d’amendes de cajou, à réussir à maîtriser cette technologie/D’autant que sur la production exceptionnelle de 702.510 tonnes qui vaut pour la campagne 2014-2015 à la Côte d’Ivoire de ravir la position de leader mondial à l’Inde, seuls 6% de ce volume est transformé. Le challenge est d’atteindre un niveau de transformation record de 100%. Pour ce faire le SIETTA doit devenir très rapidement un rendez-vous sous-régional. C’est la même vocation que Sangafowa assigne à la prochaine édition du SARA. Car après le succès franc du SARA de la renaissance en 2015, une seule chose compte pour la Côte d’Ivoire puissance agricole en Afrique de l’Ouest d’occuper au mieux le marché de la Cedeao avec ses 300 millions d’habitants. Et d’assurer leur sécurité alimentaire en commençant par réaliser l’autosuffisance alimentaire au plan national. Le commissaire général tient à cet effet un stand pour vendre la prochaine édition. Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural a salué la pertinence et la justesse du thème du SIA 2016 qui met en lumière des relations presqu’organiques entre l’Agriculture qui en produisant l du carbone lutte contre les effets du changement climatique donc améliore l’écosystème pour une agriculture qui nourrisse sainement et quantitativement les citoyens du monde .
Les défis de la transformation et des semences
Comment rentabiliser sa présence au SIA pour que les enjeux de la transformation et de la valorisation des produits agricoles et du grand chantier de la modernisation du secteur agricole soient exécutés à la satisfaction du gouvernement et notamment des acteurs, voilà l’autre sillon tracé déjà l’année dernière qu’entend élargir le premier responsable de la politique agricole ivoirienne. Il a alors enchaîné les audiences et séances de travail avec son homologue français Stéphane Le Folll au cours d’un dîner vendredi puis avec François Burgaud, président de l’association pour le développement des échanges internationaux de produits et techniques agro-alimentaires. Il a exposé à son collègue français, la vision du gouvernement qui fait de la relance de la production agricole et surtout de la transformation en produits semi-finis, une préoccupation. Puis il a sollicité le soutien de ce pays partenaire technique et financier de la Côte d’Ivoire afin d’apporter un appui qualitatif à ce secteur. Le ministre Le FOlLL s’est félicité de la convergence de vues entre lui et l’émissaire du gouvernement ivoirien puis il a précisé que les questions de productions agricoles et de ruralité sont des sujets politiques importants qui ont déjà trouvés des approches de solutions en France grâce à l’utilisation des énergies renouvelables. Et son pays serait heureux de partager cette expérience avec la Côte d’Ivoire qui regorge de nombreuses potentialités agricoles. Le président de l’ADEPTA a plaidé et dit toute la disponibilité du opérateurs agricoles privés français d’aider la Côte d’Ivoire a redevenir au sein de la CEDEAO, un centre semencier névralgique.
Franck Armand Zagbayou
Envoyé Spécial à Paris
de Paris à la Porte de Versailles. Il a clairement affiché et fait connaitre ses ambitions : La promotion du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (Sietta ) qui se tiendra du 17 au 19 novembre prochain et du salon de l’Agriculture et des Ressources animales dont la quatrième édition dite de la maturité, est prévue pour 2017. Le SIETTA est une initiative du Conseil du coton et de l’anacarde soutenue par le ministère de l’industrie .Le premier défi que la Côte d’Ivoire veut relever en organisant ledit salon, c’est de parvenir comme le Vietnam deuxième exportateur de noix de cajou et première industrie mondiale de transformation de noix et d’amendes de cajou, à réussir à maîtriser cette technologie/D’autant que sur la production exceptionnelle de 702.510 tonnes qui vaut pour la campagne 2014-2015 à la Côte d’Ivoire de ravir la position de leader mondial à l’Inde, seuls 6% de ce volume est transformé. Le challenge est d’atteindre un niveau de transformation record de 100%. Pour ce faire le SIETTA doit devenir très rapidement un rendez-vous sous-régional. C’est la même vocation que Sangafowa assigne à la prochaine édition du SARA. Car après le succès franc du SARA de la renaissance en 2015, une seule chose compte pour la Côte d’Ivoire puissance agricole en Afrique de l’Ouest d’occuper au mieux le marché de la Cedeao avec ses 300 millions d’habitants. Et d’assurer leur sécurité alimentaire en commençant par réaliser l’autosuffisance alimentaire au plan national. Le commissaire général tient à cet effet un stand pour vendre la prochaine édition. Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural a salué la pertinence et la justesse du thème du SIA 2016 qui met en lumière des relations presqu’organiques entre l’Agriculture qui en produisant l du carbone lutte contre les effets du changement climatique donc améliore l’écosystème pour une agriculture qui nourrisse sainement et quantitativement les citoyens du monde .
Les défis de la transformation et des semences
Comment rentabiliser sa présence au SIA pour que les enjeux de la transformation et de la valorisation des produits agricoles et du grand chantier de la modernisation du secteur agricole soient exécutés à la satisfaction du gouvernement et notamment des acteurs, voilà l’autre sillon tracé déjà l’année dernière qu’entend élargir le premier responsable de la politique agricole ivoirienne. Il a alors enchaîné les audiences et séances de travail avec son homologue français Stéphane Le Folll au cours d’un dîner vendredi puis avec François Burgaud, président de l’association pour le développement des échanges internationaux de produits et techniques agro-alimentaires. Il a exposé à son collègue français, la vision du gouvernement qui fait de la relance de la production agricole et surtout de la transformation en produits semi-finis, une préoccupation. Puis il a sollicité le soutien de ce pays partenaire technique et financier de la Côte d’Ivoire afin d’apporter un appui qualitatif à ce secteur. Le ministre Le FOlLL s’est félicité de la convergence de vues entre lui et l’émissaire du gouvernement ivoirien puis il a précisé que les questions de productions agricoles et de ruralité sont des sujets politiques importants qui ont déjà trouvés des approches de solutions en France grâce à l’utilisation des énergies renouvelables. Et son pays serait heureux de partager cette expérience avec la Côte d’Ivoire qui regorge de nombreuses potentialités agricoles. Le président de l’ADEPTA a plaidé et dit toute la disponibilité du opérateurs agricoles privés français d’aider la Côte d’Ivoire a redevenir au sein de la CEDEAO, un centre semencier névralgique.
Franck Armand Zagbayou
Envoyé Spécial à Paris