Une conférence inaugurale des programmes de l’Académie ivoirienne de gestion des ressources humaines (AIGRH) a été animée, le jeudi 25 février 2016, au Palm Club de Cocody par le Pr Essane Séraphin. Elle avait pour thème : « La gestion des ressources humaines en Côte d’Ivoire, management et développement, regards croisés des chercheurs et praticiens ».
Le parrain de la cérémonie, le gouverneur Robert Beugré Mambé, a exhorté chacun à défendre le sacré : L’homme. L’Homme qui est dans un monde où tout tend à la globalisation généralisée, où l’être humain est « malheureusement relégué au second rang au profit du gain ». « C’est une perspective heureuse pour la Côte d’ Ivoire, car le rôle des universitaires est déterminant dans la mission du président Alassane Ouattara qui veut faire de notre pays, un pays émergent à l'horizon 2020. Vous êtes des pionniers, et la tribu des pionniers, c’est la souffrance et le sacrifice, nous allons vous accompagner, car les ambitions sont nobles, tout le monde y gagnera. Toute la nation en bénéficiera, tel est notre vœu », a-t-il rassuré. Pour lui, le gestionnaire des ressources humaines est un acteur clé du dispositif pour améliorer les performances d’une entreprise et la direction des ressources humaines (DRH) est la synthèse de plusieurs spécialités des sciences sociales. Le président de l’AIGRH qui est intervenu auparavant, a tenu à expliquer les raisons qui l’ont poussé à fonder l’académie scientifique et le rôle fondamental que jouent les ressources humaines dans le développement de la société. Pour lui, la gestion des ressources humaines est comme la médecine humaine. « Elle est assez exigeante sur sa fiabilité scientifique, parce qu’il faut soigner et il faut guérir. Gérer les hommes est aussi quelque chose d’exigeant. Il ne faut donc pas échouer. Pour cela, on a donc besoin de beaucoup de sciences », a-t-il dit. Le représentant du Pr Ly Ramata Bakayoko, ministre de l’Enseignement Supérieur et de Recherche scientifique, présidente de cette cérémonie, s’est dit heureux de la création de cette académie, car elle vient combler un vide et booster la recherche sur les ressources humaines. « L’homme est un facteur de production économique, il est la matière vivante », a-t-il souligné.
HG
Le parrain de la cérémonie, le gouverneur Robert Beugré Mambé, a exhorté chacun à défendre le sacré : L’homme. L’Homme qui est dans un monde où tout tend à la globalisation généralisée, où l’être humain est « malheureusement relégué au second rang au profit du gain ». « C’est une perspective heureuse pour la Côte d’ Ivoire, car le rôle des universitaires est déterminant dans la mission du président Alassane Ouattara qui veut faire de notre pays, un pays émergent à l'horizon 2020. Vous êtes des pionniers, et la tribu des pionniers, c’est la souffrance et le sacrifice, nous allons vous accompagner, car les ambitions sont nobles, tout le monde y gagnera. Toute la nation en bénéficiera, tel est notre vœu », a-t-il rassuré. Pour lui, le gestionnaire des ressources humaines est un acteur clé du dispositif pour améliorer les performances d’une entreprise et la direction des ressources humaines (DRH) est la synthèse de plusieurs spécialités des sciences sociales. Le président de l’AIGRH qui est intervenu auparavant, a tenu à expliquer les raisons qui l’ont poussé à fonder l’académie scientifique et le rôle fondamental que jouent les ressources humaines dans le développement de la société. Pour lui, la gestion des ressources humaines est comme la médecine humaine. « Elle est assez exigeante sur sa fiabilité scientifique, parce qu’il faut soigner et il faut guérir. Gérer les hommes est aussi quelque chose d’exigeant. Il ne faut donc pas échouer. Pour cela, on a donc besoin de beaucoup de sciences », a-t-il dit. Le représentant du Pr Ly Ramata Bakayoko, ministre de l’Enseignement Supérieur et de Recherche scientifique, présidente de cette cérémonie, s’est dit heureux de la création de cette académie, car elle vient combler un vide et booster la recherche sur les ressources humaines. « L’homme est un facteur de production économique, il est la matière vivante », a-t-il souligné.
HG