Des experts et officiels de la Guinée, de la Côte d’Ivoire, de le Libéria et de la Sierra Léone, pays constituent l’Union du fleuve Mano (UFM), ont exprimé mercredi à Abidjan leur volonté de dynamiser la riziculture dans leurs pays respectifs pour atteindre l’autosuffisance alimentaire.
Le directeur de cabinet adjoint du ministère ivoirien de l’Intégration Africaine, Stéphane Aka Anghui, a déclaré lors d’un conclave des experts de l’UFM, l’Union du Fleuve Mano poursuivra ses actions dans sa recherche perpétuelle de la sécurité alimentaire.
"Il est plus que nécessaire, voire indispensables, de conjuguer les efforts à l’échelle sous régionale afin d’aborder les défis de façon communautaire pour une réponse appropriée dans la mise en œuvre de politiques agricoles visant l’autosuffisance alimentaire", a indiqué M. Aka Anghui.
Il a appelé à maximiser la production rizicole dans les pays de l’Union du fleuve Mano.
Le directeur du programme de productivité agricole en Afrique de l’Ouest, Mohamed Benzekri, a noté pour sa part que l’Afrique dispose d’un immense potentiel agricole et qu’elle pourrait à elle seule nourrir 9 milliards d’êtres humains.
A en croire M. Benzekri, ce potentiel est aujourd’hui encore inexploité car 25% des 856 millions d’africains souffrent encore de malnutrition et l’Afrique importe aujourd’hui 35 milliards de dollars de nourriture par an, soit 60% de la main d’œuvre africaine et seulement 25% de PIB.
L’expert a fait état de la mise en oeuvre de programmes pour contribuer à relever le défi d’une agriculture structurée, performante et durable dans la sous-région.
"Il s’agit de donner aux producteurs agricoles tous les moyens de réussir une production adaptées et abordables en leur octroyant des services et accompagnement tels que des solutions logistiques et financiers afin d’aboutir à une nouvelle révolution verte", a-t-il expliqué.
Suite à la crise alimentaire de 2008, l’Union du Fleuve Mano a fait de l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire de la sous-région, un des piliers de son action.
Le riz constitue une céréale de grande consommation dans la sous-région.
Le riz est la première céréale consommée en Côte d’Ivoire, pays qui ne produit annuellement que 600.000 tonnes de riz blanchi pour les besoins estimés à 1,5 million de tonnes.
L’Union du fleuve Mano, créée en 1973 à des fins de coopération économique et d’intégration régionale, tire son nom du fleuve Mano.
Cette organisation est composée de quatre Etats membres que sont la Guinée, la Côte d’Ivoire, le Libéria et la Sierra Léone.
Le directeur de cabinet adjoint du ministère ivoirien de l’Intégration Africaine, Stéphane Aka Anghui, a déclaré lors d’un conclave des experts de l’UFM, l’Union du Fleuve Mano poursuivra ses actions dans sa recherche perpétuelle de la sécurité alimentaire.
"Il est plus que nécessaire, voire indispensables, de conjuguer les efforts à l’échelle sous régionale afin d’aborder les défis de façon communautaire pour une réponse appropriée dans la mise en œuvre de politiques agricoles visant l’autosuffisance alimentaire", a indiqué M. Aka Anghui.
Il a appelé à maximiser la production rizicole dans les pays de l’Union du fleuve Mano.
Le directeur du programme de productivité agricole en Afrique de l’Ouest, Mohamed Benzekri, a noté pour sa part que l’Afrique dispose d’un immense potentiel agricole et qu’elle pourrait à elle seule nourrir 9 milliards d’êtres humains.
A en croire M. Benzekri, ce potentiel est aujourd’hui encore inexploité car 25% des 856 millions d’africains souffrent encore de malnutrition et l’Afrique importe aujourd’hui 35 milliards de dollars de nourriture par an, soit 60% de la main d’œuvre africaine et seulement 25% de PIB.
L’expert a fait état de la mise en oeuvre de programmes pour contribuer à relever le défi d’une agriculture structurée, performante et durable dans la sous-région.
"Il s’agit de donner aux producteurs agricoles tous les moyens de réussir une production adaptées et abordables en leur octroyant des services et accompagnement tels que des solutions logistiques et financiers afin d’aboutir à une nouvelle révolution verte", a-t-il expliqué.
Suite à la crise alimentaire de 2008, l’Union du Fleuve Mano a fait de l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire de la sous-région, un des piliers de son action.
Le riz constitue une céréale de grande consommation dans la sous-région.
Le riz est la première céréale consommée en Côte d’Ivoire, pays qui ne produit annuellement que 600.000 tonnes de riz blanchi pour les besoins estimés à 1,5 million de tonnes.
L’Union du fleuve Mano, créée en 1973 à des fins de coopération économique et d’intégration régionale, tire son nom du fleuve Mano.
Cette organisation est composée de quatre Etats membres que sont la Guinée, la Côte d’Ivoire, le Libéria et la Sierra Léone.