La 9ème édition du Marché des arts du spectacle africain d’Abidjan a été lancée le samedi 05 mars 2016 à salle de “1500 places’’ du palais de la Culture de Treichville par Daniel Kablan Duncan, Premier ministre de Côte d’Ivoire.
‘’ Réinventons les arts de la scène’’, tel est le thème de cette édition qui s’étend jusqu’au 12 mars 2016. Daniel Kablan Duncan, le Premier ministre qui a déclaré ouvert, l’événement, a révélé : « Nous, les Africains, avons l’émergence culturelle depuis des siècles et nous sommes maintenant à la recherche de l’émergence économique». Pour lui, le Masa est un marché de dimension internationale qui vise à promouvoir les créateurs pour qu’ils vivent pleinement de leur art. Le but recherché, selon lui, est d’ouvrir les marchés du Nord(Europe) aux artistes et créateurs africains. C’est pourquoi, se référant au thème, il a soutenu que l’invention est nécessaire. Le Premier ministre a affirmé que cette 9ème édition prouve qu’après celle de 2014 la Côte d’Ivoire est bel est bien de retour sur la scène internationale après une interruption du Masa. Il a traduit toute la reconnaissance de la Côte d’Ivoire à Michaëlle Jean, Secrétaire général de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) pour son soutien à l’organisation du Masa. Il a souhaité un bon séjour aux 2000 participants de 37 pays présents en Côte d’Ivoire et félicité le ministre de la Culture et la Francophonie et tous les partenaires de l’événement.
Adama Ouané, Administrateur de l’OIF à Abidjan, a dit pour sa part, que la Masa associe la culture à l’économie. Et d’ajouter : « Nous sommes-là pour célébrer la culture. Cette 9ème édition, la 2ème après la crise est un indicateur qui prône que la Côte d’Ivoire est stable ». Il s’est dit profondément heureux d’être à ce Masa et a promis que l’OIF continuera d’accompagner l’événement.
Pour Maurice Kouakou Bandaman, ministre de la Culture et la Francophonie, le Masa est un marché d’offres et d’achats. C’est une économie de marchés. En outre, il a rendu un hommage à la Grande Chancelière, Henriette Dagri Diabaté pour avoir porté le Masa sur les fonts baptismaux en 1993 lorsqu’elle était le ministre de la Culture avec l’appui du Premier ministre de l’époque, Alassane Ouattara. Dans la foulée, il a exprimé toute sa gratitude à l’OIF pour avoir fait confiance à la Côte d’Ivoire pour l’organisation du Masa depuis 1993.
C’est le Professeur Yacouba Konaté, directeur général du Masa qui avait planté le décor de l’événement. Pour lui, le Masa se positionne comme un outil de diversités culturelles. Il a révélé que personne n’a encore soutenu que l’Afrique est sous-développée culturellement et artistiquement. Pour lui, le Masa est une ouverture sur les diasporas africaines. Yacouba Konaté a traduit toute sa reconnaissance au président de la République de Côte d’Ivoire et à son gouvernement pour avoir dégagé les moyens à temps pour l’organisation de cette 9ème édition du Masa. Il n’a pas oublié les différents partenaires et surtout l’OIF.
Robert Beugré Mambé, gouvernement du District d’Abidjan a, pour sa part, vanté les bienfaits de la culture sous toutes ses formes. La musique, la peinture, la danse, la sculpture, a-t-il dit, modifient positivement les humeurs de l’homme. C’est pourquoi, il dit que le Masa est une grande et belle organisation qu’il faut encourager. Et de déclarer : « Le Masa, c’est la vie ! Le Masa, c’est la paix ! Le Masa, c’est l’espérance !»
M.Ouattara
‘’ Réinventons les arts de la scène’’, tel est le thème de cette édition qui s’étend jusqu’au 12 mars 2016. Daniel Kablan Duncan, le Premier ministre qui a déclaré ouvert, l’événement, a révélé : « Nous, les Africains, avons l’émergence culturelle depuis des siècles et nous sommes maintenant à la recherche de l’émergence économique». Pour lui, le Masa est un marché de dimension internationale qui vise à promouvoir les créateurs pour qu’ils vivent pleinement de leur art. Le but recherché, selon lui, est d’ouvrir les marchés du Nord(Europe) aux artistes et créateurs africains. C’est pourquoi, se référant au thème, il a soutenu que l’invention est nécessaire. Le Premier ministre a affirmé que cette 9ème édition prouve qu’après celle de 2014 la Côte d’Ivoire est bel est bien de retour sur la scène internationale après une interruption du Masa. Il a traduit toute la reconnaissance de la Côte d’Ivoire à Michaëlle Jean, Secrétaire général de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) pour son soutien à l’organisation du Masa. Il a souhaité un bon séjour aux 2000 participants de 37 pays présents en Côte d’Ivoire et félicité le ministre de la Culture et la Francophonie et tous les partenaires de l’événement.
Adama Ouané, Administrateur de l’OIF à Abidjan, a dit pour sa part, que la Masa associe la culture à l’économie. Et d’ajouter : « Nous sommes-là pour célébrer la culture. Cette 9ème édition, la 2ème après la crise est un indicateur qui prône que la Côte d’Ivoire est stable ». Il s’est dit profondément heureux d’être à ce Masa et a promis que l’OIF continuera d’accompagner l’événement.
Pour Maurice Kouakou Bandaman, ministre de la Culture et la Francophonie, le Masa est un marché d’offres et d’achats. C’est une économie de marchés. En outre, il a rendu un hommage à la Grande Chancelière, Henriette Dagri Diabaté pour avoir porté le Masa sur les fonts baptismaux en 1993 lorsqu’elle était le ministre de la Culture avec l’appui du Premier ministre de l’époque, Alassane Ouattara. Dans la foulée, il a exprimé toute sa gratitude à l’OIF pour avoir fait confiance à la Côte d’Ivoire pour l’organisation du Masa depuis 1993.
C’est le Professeur Yacouba Konaté, directeur général du Masa qui avait planté le décor de l’événement. Pour lui, le Masa se positionne comme un outil de diversités culturelles. Il a révélé que personne n’a encore soutenu que l’Afrique est sous-développée culturellement et artistiquement. Pour lui, le Masa est une ouverture sur les diasporas africaines. Yacouba Konaté a traduit toute sa reconnaissance au président de la République de Côte d’Ivoire et à son gouvernement pour avoir dégagé les moyens à temps pour l’organisation de cette 9ème édition du Masa. Il n’a pas oublié les différents partenaires et surtout l’OIF.
Robert Beugré Mambé, gouvernement du District d’Abidjan a, pour sa part, vanté les bienfaits de la culture sous toutes ses formes. La musique, la peinture, la danse, la sculpture, a-t-il dit, modifient positivement les humeurs de l’homme. C’est pourquoi, il dit que le Masa est une grande et belle organisation qu’il faut encourager. Et de déclarer : « Le Masa, c’est la vie ! Le Masa, c’est la paix ! Le Masa, c’est l’espérance !»
M.Ouattara