Placé sous la présidence de Madame Dominique Ouattara, présidente du Comité National de Surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, la Fondation International Cocoa Initiative (ICI) a initié un atelier de renforcement des capacités des médias nationaux et internationaux autour du thème le rôle des médias dans la lutte contre le travail des enfants dans la cacaoculture à Yamoussoukro.
Définition des concepts clés liées aux pires formes du travail des enfants (PFTE), information sur le cadre institutionnel et normes réglementaires et juridiques de lutte contre les PFTE, les causes et conséquences du travail des enfants et les actions de lutte contre les PFTE sont entre autre les modules qui ont meublés cette première journée.
M. Frédéric Aka, responsable des formations de International Cocoa Initiative a dans sa présentation rappelé l’essence des PFTE. Selon lui, il y a 4 classes d’activités que lorsqu’elles sont réunies alors on parlera des PFTE. Il s’agit notamment de l’engagement ou du recrutement des enfants dans toutes les formes d’esclavage, le travail forcé, les conflits armés. Aussi il ne faut pas ignorer l’utilisation des enfants à des fins d’exploitations sexuelles; l’utilisation des enfants aux fins des activités illicites et le recrutement des enfants dans les travaux dangereux.
Poursuivant dans sa communication, M Frédéric Aka a indiqué qu’en Côte d’Ivoire 1424996 enfants âgés de 5 à 17 ans sont concernés par le travail à abolir dont 539177 soit 37, 8% impliqués dans un travail dangereux.
Pour mener à bien le rôle de cette structure qui lutte contre l’exploitation des enfants dans la cacaoculture, les responsables ont trouvé judicieux de donner des rudiments nécessaires à la presse pour que les hommes de médias soient imprégnés afin de mieux apprécier les situations sur cette question qui reste tout de même fondamentale. Les séminaristes composés de journalistes et qielques responsables de communication ont posé des préoccupations pertinentes qui ont amené parfois les experts à pousser leur réflexion pour une meilleure appréciation sur le sujet.
C’est dans une ambiance conviviale que formateurs et séminaristes se séparés pour continuer les travaux demain.
Rappelons qu’il faut lié l’âge et la dangerosité de l’activité que mène l’enfant pour définir le travail de l’enfant.
C. K.
Définition des concepts clés liées aux pires formes du travail des enfants (PFTE), information sur le cadre institutionnel et normes réglementaires et juridiques de lutte contre les PFTE, les causes et conséquences du travail des enfants et les actions de lutte contre les PFTE sont entre autre les modules qui ont meublés cette première journée.
M. Frédéric Aka, responsable des formations de International Cocoa Initiative a dans sa présentation rappelé l’essence des PFTE. Selon lui, il y a 4 classes d’activités que lorsqu’elles sont réunies alors on parlera des PFTE. Il s’agit notamment de l’engagement ou du recrutement des enfants dans toutes les formes d’esclavage, le travail forcé, les conflits armés. Aussi il ne faut pas ignorer l’utilisation des enfants à des fins d’exploitations sexuelles; l’utilisation des enfants aux fins des activités illicites et le recrutement des enfants dans les travaux dangereux.
Poursuivant dans sa communication, M Frédéric Aka a indiqué qu’en Côte d’Ivoire 1424996 enfants âgés de 5 à 17 ans sont concernés par le travail à abolir dont 539177 soit 37, 8% impliqués dans un travail dangereux.
Pour mener à bien le rôle de cette structure qui lutte contre l’exploitation des enfants dans la cacaoculture, les responsables ont trouvé judicieux de donner des rudiments nécessaires à la presse pour que les hommes de médias soient imprégnés afin de mieux apprécier les situations sur cette question qui reste tout de même fondamentale. Les séminaristes composés de journalistes et qielques responsables de communication ont posé des préoccupations pertinentes qui ont amené parfois les experts à pousser leur réflexion pour une meilleure appréciation sur le sujet.
C’est dans une ambiance conviviale que formateurs et séminaristes se séparés pour continuer les travaux demain.
Rappelons qu’il faut lié l’âge et la dangerosité de l’activité que mène l’enfant pour définir le travail de l’enfant.
C. K.