A la faveur du lancement du Marché des arts et du spectacle africain (Masa), l’Intelligent d’Abidjan a rencontré Tahirou Barry, le ministre de la Culture, des Arts et du Tourisme du Burkina Faso. Il parle de l’importance des relations entre son pays et la Côte d’Ivoire.
Que nous vaut votre présence au MASA ?
C’est l’expression de l’attachement à la culture. C’est l’expression de la fraternité, de la solidarité qui existe entre deux peuples : la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.
Avez-vous accompagné des artistes burkinabè ?
Oui, J’ai accompagné des groupes et des vedettes. Et je reste convaincu qu’ils vont donner la pleine mesure de leur talent et les festivaliers apprécieront énormément.
Pensez-vous qu’ils auront des acheteurs ?
Naturellement, c’est un marché qui est ouvert aux acheteurs et je pense que les organisateurs ont dû prendre toutes les dispositions pour que ce soit véritablement le marché africain qui soit mis en évidence.
Et le ‘’Fasodafani’’ ?
Je suis habillé en ‘’Fasodafani’’. C’est le signe que quelque part, on a un message à porter dans ce sens.
Dans l’une de vos interviews, vous demandiez la promotion du ‘’Fasodafani’’ tous azimuts. Pourquoi cette promotion agressive?
Mais, il faut consommer burkinabé. C’est à partir de là que le développement peut s’élever.
Pouvez-vous parler de la crise entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso concernant le dossier Soro Guillaume?
Non ! Laissez la Culture aux culturels, la Politique aux politiciens. Quelles que soient les incompréhensions, quelles que soient les divergences, la culture doit travailler à unir nos deux peuples. La culture doit travailler à rassembler les deux peuples et à créer les conditions d’une coopération franche, d’une coopération forte.
Donc, à travers la culture on peut dissiper tous les nuages ?
Oui, la culture est un facteur, un élément de rapprochement. C’est avec la culture que les grandes nations se retrouvent et essaient d’avoir une vision commune. C’est ce quoi, nous devrons nous orienter.
Combien de personnes vous accompagnent-elles ?
Je n’ai pas une idée précise du nombre de personnes qui m’accompagnent mais je sais que la délégation est forte. Il y a des groupes de danse, des groupes de théâtre, des vedettes, une représentation du ministère, des agents de la presse et c’est tout ce groupe qui va représenter dignement le Burkina Faso.
Propos recueillis par M.Ouattara
Que nous vaut votre présence au MASA ?
C’est l’expression de l’attachement à la culture. C’est l’expression de la fraternité, de la solidarité qui existe entre deux peuples : la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso.
Avez-vous accompagné des artistes burkinabè ?
Oui, J’ai accompagné des groupes et des vedettes. Et je reste convaincu qu’ils vont donner la pleine mesure de leur talent et les festivaliers apprécieront énormément.
Pensez-vous qu’ils auront des acheteurs ?
Naturellement, c’est un marché qui est ouvert aux acheteurs et je pense que les organisateurs ont dû prendre toutes les dispositions pour que ce soit véritablement le marché africain qui soit mis en évidence.
Et le ‘’Fasodafani’’ ?
Je suis habillé en ‘’Fasodafani’’. C’est le signe que quelque part, on a un message à porter dans ce sens.
Dans l’une de vos interviews, vous demandiez la promotion du ‘’Fasodafani’’ tous azimuts. Pourquoi cette promotion agressive?
Mais, il faut consommer burkinabé. C’est à partir de là que le développement peut s’élever.
Pouvez-vous parler de la crise entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso concernant le dossier Soro Guillaume?
Non ! Laissez la Culture aux culturels, la Politique aux politiciens. Quelles que soient les incompréhensions, quelles que soient les divergences, la culture doit travailler à unir nos deux peuples. La culture doit travailler à rassembler les deux peuples et à créer les conditions d’une coopération franche, d’une coopération forte.
Donc, à travers la culture on peut dissiper tous les nuages ?
Oui, la culture est un facteur, un élément de rapprochement. C’est avec la culture que les grandes nations se retrouvent et essaient d’avoir une vision commune. C’est ce quoi, nous devrons nous orienter.
Combien de personnes vous accompagnent-elles ?
Je n’ai pas une idée précise du nombre de personnes qui m’accompagnent mais je sais que la délégation est forte. Il y a des groupes de danse, des groupes de théâtre, des vedettes, une représentation du ministère, des agents de la presse et c’est tout ce groupe qui va représenter dignement le Burkina Faso.
Propos recueillis par M.Ouattara