Diabaté Bêh secrétaire national du Front populaire ivoirien (Fpi) chargé des fédérations d’Abobo, a engagé le processus de restructuration et de redynamisation des structures de son parti dans cette commune. Une commune qui passe d’une fédération à quatre par souci d’efficacité. Le samedi 12 mars, Diabaté Bêh a procédé à l’installation du bureau fédéral d’Abobo Est 1 dont le premier responsable est Georges Koffi. La rencontre des militants s’est déroulée dans un maquis à Abobo-Akeikoi. A ses camarades qui disent être encore sous le choc de la crise post-électorale, mais qui promettent de reprendre la lutte, le secrétaire national du Fpi a dit : «Nous sommes venus ttavailler avec vous pour que le Fpi ait des élus à Abobo. Si vous voulez le changement, tuez en vous la peur. C’est par votre propre comportement que vous serez respectés. N’Ayez pas peur. Le pouvoir ne se donne pas. Il s’arrache par la lutte permenante».
Diabaté Beh a vivement invité les militants à renouer avec le combat pour faire gagner le Fpi à Abobo. Il a insisté sur la nécessiité pour le parti d’aller à toutes les compétitions électorales avec les moyens démocratiques. «On va faire tomber le Rdr à Abobo parce nous allons proposer le meilleur programme aux populations. Le Fpi est un parti des débats et non des armes et des affrontements. Les armes sont révolues. Si on ne change pas de comportement. Le Fpi n’avancera pas», a-t-il prévenu. Le changement dont il parle, c’est le dialogue, la diplomatie, la paix et la réconciliation. Mais il a également invité ses camarades à cultiver les vraies valeurs d’un parti de gauche. «Nous sommes des socialistes. Sortons des débats qui collent des étiquettes aux ethnies et aux communautés. Ne triez pas les ethnies. Allez parler à tout le monde pour repositionner le Fpi.Nous devons reprendre le pouvoir pour le bonheur de Laurent Gbagbo».
Parlant de la crise au Fpi, le secrétaire national du Fpi a dit qu’il n’y a pas de traitres au Fpi : «Aucun militant Fpi n’est traitre. Ni Sangaré, ni Affi ne sont traîtres. J’ai pris ma première carte FPI en août 1990 à Touba. Ce n’est pas quelqu’un qui m’a envoyé au Fpi. Ce n’est pas quelqu’un qui paie ma carte donc je ne veux pas qu’on dise que je suis un traître».
Le secrtétaire général de la fédération, Georges Koffi, a présenté son bureau de 20 membres. Dans leur intervention, les militants ont rassuré que malgré le traumatisme de la crise, Abobo compte encore de milliers de militants Fpi. Ils ont demandé que la sensibilisation se poursuive pour une plus forte mobilisation.
B.K
Diabaté Beh a vivement invité les militants à renouer avec le combat pour faire gagner le Fpi à Abobo. Il a insisté sur la nécessiité pour le parti d’aller à toutes les compétitions électorales avec les moyens démocratiques. «On va faire tomber le Rdr à Abobo parce nous allons proposer le meilleur programme aux populations. Le Fpi est un parti des débats et non des armes et des affrontements. Les armes sont révolues. Si on ne change pas de comportement. Le Fpi n’avancera pas», a-t-il prévenu. Le changement dont il parle, c’est le dialogue, la diplomatie, la paix et la réconciliation. Mais il a également invité ses camarades à cultiver les vraies valeurs d’un parti de gauche. «Nous sommes des socialistes. Sortons des débats qui collent des étiquettes aux ethnies et aux communautés. Ne triez pas les ethnies. Allez parler à tout le monde pour repositionner le Fpi.Nous devons reprendre le pouvoir pour le bonheur de Laurent Gbagbo».
Parlant de la crise au Fpi, le secrétaire national du Fpi a dit qu’il n’y a pas de traitres au Fpi : «Aucun militant Fpi n’est traitre. Ni Sangaré, ni Affi ne sont traîtres. J’ai pris ma première carte FPI en août 1990 à Touba. Ce n’est pas quelqu’un qui m’a envoyé au Fpi. Ce n’est pas quelqu’un qui paie ma carte donc je ne veux pas qu’on dise que je suis un traître».
Le secrtétaire général de la fédération, Georges Koffi, a présenté son bureau de 20 membres. Dans leur intervention, les militants ont rassuré que malgré le traumatisme de la crise, Abobo compte encore de milliers de militants Fpi. Ils ont demandé que la sensibilisation se poursuive pour une plus forte mobilisation.
B.K