Bouaké - Des acteurs de la filière coton ont proposé, au terme d’un atelier initié par l’Inter-coton en collaboration avec la direction des Organisations professionnelles agricoles (DOPA) et le Conseil coton-anacarde, un schéma de renforcement et de consolidation des organisations professionnelles agricoles (OPA), après validation des résultats d’une analyse de données collectées dans le cadre du projet relatif à leur restructuration.
Un schéma pyramidal à trois niveaux, les fédérations au sommet, les unions de coopérative au milieu et les sociétés coopératives à la base, a été adopté lors de l’atelier qui s’est déroulé de mercredi à vendredi à Bouaké.
Pour finaliser ce schéma, les acteurs ont défini également une feuille de route précisant les activités à mener et les acteurs responsables, et proposé la mise en place d’un Comité de suivi avec des précisions sur ses attributions.
L’atelier a adopté, par ailleurs, des critères de viabilité des OPA. Il s’agit, notamment, de disposer d’un poids économique estimé à au moins 2.500 T de coton graine, avoir un personnel qualifié et permanent de trois personnes au moins (un directeur, un comptable et un magasinier) pour assurer la gestion, rendre aux membres un minimum de services tels que l’offre de crédits intrants, de prêts de soudure et de formation des membres. Il a été également retenu comme critère la possession d’un minimum d’investissement (siège social, magasin d’intrants) et d’équipement (ordinateur, logiciel de gestion, moto, bascule).
Le président du Conseil d’administration de l’Intercoton, Tuo Lacina, a promis que tout sera mis en œuvre afin que les résultats de cet atelier profitent à la filière. Abondant dans le même sens, le directeur général adjoint du Conseil coton-anacarde, le Dr Adama Coulibaly, a souhaité un bon déroulement de la feuille de route, avant d’exhorter les acteurs à l’union et à privilégier les intérêts de la filière pour sa pérennité.
(AIP)
Nbf/kp
Un schéma pyramidal à trois niveaux, les fédérations au sommet, les unions de coopérative au milieu et les sociétés coopératives à la base, a été adopté lors de l’atelier qui s’est déroulé de mercredi à vendredi à Bouaké.
Pour finaliser ce schéma, les acteurs ont défini également une feuille de route précisant les activités à mener et les acteurs responsables, et proposé la mise en place d’un Comité de suivi avec des précisions sur ses attributions.
L’atelier a adopté, par ailleurs, des critères de viabilité des OPA. Il s’agit, notamment, de disposer d’un poids économique estimé à au moins 2.500 T de coton graine, avoir un personnel qualifié et permanent de trois personnes au moins (un directeur, un comptable et un magasinier) pour assurer la gestion, rendre aux membres un minimum de services tels que l’offre de crédits intrants, de prêts de soudure et de formation des membres. Il a été également retenu comme critère la possession d’un minimum d’investissement (siège social, magasin d’intrants) et d’équipement (ordinateur, logiciel de gestion, moto, bascule).
Le président du Conseil d’administration de l’Intercoton, Tuo Lacina, a promis que tout sera mis en œuvre afin que les résultats de cet atelier profitent à la filière. Abondant dans le même sens, le directeur général adjoint du Conseil coton-anacarde, le Dr Adama Coulibaly, a souhaité un bon déroulement de la feuille de route, avant d’exhorter les acteurs à l’union et à privilégier les intérêts de la filière pour sa pérennité.
(AIP)
Nbf/kp