Abidjan, Le 15ème Forum sur la régulation des télécommunications/TIC et le partenariat en Afrique (FTRA 16) se déroule de mercredi à vendredi à Abidjan, sur les « Problèmes liés à la réglementation dans une société de l’information sans frontières ».
Lors de la cérémonie officielle d’ouverture organisée jeudi au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, le ministre ivoirien de l’Economie numérique et de la Poste, Bruno Nabagné Koné, a appelé à la mise en œuvre de stratégies efficaces pour le développement d’une économie numérique porteuse de valeurs en Afrique.
« Il apparaît de façon indiscutable que les progrès et l’innovation dans le secteur des TIC ont été fulgurants ces dernières années », a fait remarquer le ministre. Pour lui, au regard de l’impact profond des TIC sur les économies des pays et sur la vie des populations, les enjeux de la réglementation et de la régulation sont nombreux et importants.
« Les politiques de régulation et de réglementation ne doivent pas s’arrêter au niveau national », a déclaré le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique de la Guinée, Moustapha Diaby. Il a estimé que la réglementation de l’écosystème des télécommunications requiert une approche intelligente, coordonnée, régionale. Elle doit avoir des instruments pour l’innovation et aboutir à une convergence devant revêtir la dimension humaine, a-t-il ajouté.
Il s’agit de revoir les modèles économiques, d’une économie qui prenne en compte les spécificités de chaque pays et qui permettra de réduire ou supprimer les coûts de transit, d’asseoir une transparence fiscale pour réussir le pari des investissements massifs, de créer une transversalité entre ce qui se passe dans chaque secteur et d’intégrer les approches, d’implémenter des dynamiques nouvelles qui tiennent compte de l’aspiration des peuples, d’aller au-delà de la peur et des questionnements, a-t-il recommandé, entre autres.
Auparavant, le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications/TIC en Côte d’Ivoire (ARTCI), Bilé Diéméléou, et le directeur du Bureau de développement des télécommunications à l’Union internationale des télécommunications (UIT/BDT), Brahima Sanou, ont tour à tour insisté sur la nécessité d’adopter une approche nouvelle pour les politiques de réglementation des TIC.
(AIP)
cmas
Lors de la cérémonie officielle d’ouverture organisée jeudi au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, le ministre ivoirien de l’Economie numérique et de la Poste, Bruno Nabagné Koné, a appelé à la mise en œuvre de stratégies efficaces pour le développement d’une économie numérique porteuse de valeurs en Afrique.
« Il apparaît de façon indiscutable que les progrès et l’innovation dans le secteur des TIC ont été fulgurants ces dernières années », a fait remarquer le ministre. Pour lui, au regard de l’impact profond des TIC sur les économies des pays et sur la vie des populations, les enjeux de la réglementation et de la régulation sont nombreux et importants.
« Les politiques de régulation et de réglementation ne doivent pas s’arrêter au niveau national », a déclaré le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique de la Guinée, Moustapha Diaby. Il a estimé que la réglementation de l’écosystème des télécommunications requiert une approche intelligente, coordonnée, régionale. Elle doit avoir des instruments pour l’innovation et aboutir à une convergence devant revêtir la dimension humaine, a-t-il ajouté.
Il s’agit de revoir les modèles économiques, d’une économie qui prenne en compte les spécificités de chaque pays et qui permettra de réduire ou supprimer les coûts de transit, d’asseoir une transparence fiscale pour réussir le pari des investissements massifs, de créer une transversalité entre ce qui se passe dans chaque secteur et d’intégrer les approches, d’implémenter des dynamiques nouvelles qui tiennent compte de l’aspiration des peuples, d’aller au-delà de la peur et des questionnements, a-t-il recommandé, entre autres.
Auparavant, le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications/TIC en Côte d’Ivoire (ARTCI), Bilé Diéméléou, et le directeur du Bureau de développement des télécommunications à l’Union internationale des télécommunications (UIT/BDT), Brahima Sanou, ont tour à tour insisté sur la nécessité d’adopter une approche nouvelle pour les politiques de réglementation des TIC.
(AIP)
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