Le Ministre ivoirien de l’économie numérique et de la poste, Porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné KONE, a pris part, jeudi, à la cérémonie d’ouverture de la 15ème édition du forum sur la régulation des télécommunications/TIC en Afrique qui se tient au Sofitel Hôtel Ivoire à Abidjan (FTRA 16). Cette rencontre de haut niveau, qui se tient du 23 au 25 Mars à Abidjan, et organisé par l’Autorité de Régulation des Télécommunications/TIC de Côte d’Ivoire (ARTCI), en collaboration avec l’Union internationale des télécommunications (Uit) est un cadre de concertation et de coopération entre les régulateurs du secteur des télécommunications et des technologies de l’information et de la communication (Tic) d’Afrique. Elle a pour objectif de permettre aux régulateurs de disposer de stratégies et d’approches régionales coordonnées pour relever les défis liés à la réglementation et la régulation en Afrique.
L’ouverture du forum a été l’occasion pour Bruno KONÉ d’évoquer largement les potentialités des Tic comme moteur de croissance et la nécessité des Etats d’œuvrer pour renforcer la base économique de l’Afrique en s’appuyant sur ce secteur. « Malgré la grande percée du mobile, l’Afrique est encore à la traine. L’Internet demeure encore faible et les infrastructures de qualité restent à être améliorées...», a-t-il souligné.
L’Afrique ne doit pas rester en marge de cette révolution. « Raison pour laquelle, La Côte d’Ivoire a engagé au cours de ces quatre dernières années de nombreuses réformes. L’Etat ivoirien a non seulement redéfini la mission des acteurs de régulation mieux il a mis en place une politique d’accès au tic, comme la défiscalisation du matériel informatique », a révélé Bruno KONE.
Il a également dressé un tableau du secteur de l’économie numérique qui selon lui se développe de façon harmonieuse.
Le Ministre Guinéen des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Moustapha Diaby, a quant à lui fait un diagnostic de l’écosystème des télécommunications avant de faire des propositions. « L’écosystème des télécommunications en Afrique amorce une convergence dynamique. Pour réussir la révolution numérique, il faut s’adapter, innover et anticiper ».
La rencontre d’Abidjan sera donc l’occasion pour les experts d’asseoir les bases de réglementation d’un écosystème numérique dynamique comme le souhaitent BILE Diéméléou et Brahima SANOU, respectivement DG de l’ARTCI et Directeur du Bureau de Développement des télécommunications de l’Uit (UIT/BDT).
L’ouverture du forum a été l’occasion pour Bruno KONÉ d’évoquer largement les potentialités des Tic comme moteur de croissance et la nécessité des Etats d’œuvrer pour renforcer la base économique de l’Afrique en s’appuyant sur ce secteur. « Malgré la grande percée du mobile, l’Afrique est encore à la traine. L’Internet demeure encore faible et les infrastructures de qualité restent à être améliorées...», a-t-il souligné.
L’Afrique ne doit pas rester en marge de cette révolution. « Raison pour laquelle, La Côte d’Ivoire a engagé au cours de ces quatre dernières années de nombreuses réformes. L’Etat ivoirien a non seulement redéfini la mission des acteurs de régulation mieux il a mis en place une politique d’accès au tic, comme la défiscalisation du matériel informatique », a révélé Bruno KONE.
Il a également dressé un tableau du secteur de l’économie numérique qui selon lui se développe de façon harmonieuse.
Le Ministre Guinéen des postes, des télécommunications et de l’économie numérique, Moustapha Diaby, a quant à lui fait un diagnostic de l’écosystème des télécommunications avant de faire des propositions. « L’écosystème des télécommunications en Afrique amorce une convergence dynamique. Pour réussir la révolution numérique, il faut s’adapter, innover et anticiper ».
La rencontre d’Abidjan sera donc l’occasion pour les experts d’asseoir les bases de réglementation d’un écosystème numérique dynamique comme le souhaitent BILE Diéméléou et Brahima SANOU, respectivement DG de l’ARTCI et Directeur du Bureau de Développement des télécommunications de l’Uit (UIT/BDT).