L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), a appelé samedi les populations de la localité de Bouna (603 Km au nord-est d’Abidjan), au "calme et à la retenue", après de violents affrontements intercommunautaires ayant fait au moins 17 morts, dans un communiqué.
L’ONUCI appelle les populations "au calme et à la retenue" et "invite les uns et les autres à privilégier la voie du dialogue pour une gestion pacifique des différends dans la perspective d’une paix durable dans la région et en Côte d’Ivoire", indique la note.
Dans ce communiqué, la représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou, a annoncé le déploiement des Casques bleus "dans la ville de Bouna afin de concourir aux efforts de protection des populations civiles".
La mission onusienne, qui a accueilli des populations dans l’une de ses bases dans la région du Bounkani (nord-est), a également "facilité l’acheminement de l’aide humanitaire mise à disposition par le gouvernement, les agences des Nations Unies et les partenaires", souligne le texte.
L’ONUCI "déplore les incidents violents survenus depuis le 24 mars 2016, dans des villages et dans la ville de Bouna", ayant opposé les Lobis, un peuple essentiellement agricole et les Peulhs, des éleveurs nomades, conclut le communiqué.
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L’ONUCI appelle les populations "au calme et à la retenue" et "invite les uns et les autres à privilégier la voie du dialogue pour une gestion pacifique des différends dans la perspective d’une paix durable dans la région et en Côte d’Ivoire", indique la note.
Dans ce communiqué, la représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou, a annoncé le déploiement des Casques bleus "dans la ville de Bouna afin de concourir aux efforts de protection des populations civiles".
La mission onusienne, qui a accueilli des populations dans l’une de ses bases dans la région du Bounkani (nord-est), a également "facilité l’acheminement de l’aide humanitaire mise à disposition par le gouvernement, les agences des Nations Unies et les partenaires", souligne le texte.
L’ONUCI "déplore les incidents violents survenus depuis le 24 mars 2016, dans des villages et dans la ville de Bouna", ayant opposé les Lobis, un peuple essentiellement agricole et les Peulhs, des éleveurs nomades, conclut le communiqué.
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