Bouna (Côte d'Ivoire) - Un collectif de jeunes soutenant les actions du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir) a fait, samedi, don de vivres aux déplacés des affrontements intercommunautaires de Bouna (Nord-Est).
Selon Charles Gnahoré, membre de ce collectif, "nous avons fait don de vivres (riz, huile...) pour aider le Préfet de région de Bouna à s'occuper des déplacés". "Nous avons rencontrer les différents chefs de communauté de Bouna", a ajouté M. Gnahoré, par ailleurs Président de "Force 2015", soulignant que le séjour a été également mis à profit pour "sensibiliser" les jeunes à s'éloigner des violences.
Dans la nuit du 23 au 24 mars 2016, la ville de Bouna a été secouée par des violences qui ont connu une aggravation particulière avec à ce jour, 19 morts et plusieurs blessés dénombrés. Les affrontements de Bouna ont aussi occasionné 2680 déplacés internes . Depuis lors, des délégations ministérielles se succèdent sur place à Bouna pour tenter de faire baisser la tension.
Plus de 500 éléments des forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), 250 gendarmes et 140 policiers ont été déployés à Bouna pour maintenir l'ordre après ces affrontements intercommunautaires nés d'un conflit être agriculteur et éleveur .
LS/APA
Selon Charles Gnahoré, membre de ce collectif, "nous avons fait don de vivres (riz, huile...) pour aider le Préfet de région de Bouna à s'occuper des déplacés". "Nous avons rencontrer les différents chefs de communauté de Bouna", a ajouté M. Gnahoré, par ailleurs Président de "Force 2015", soulignant que le séjour a été également mis à profit pour "sensibiliser" les jeunes à s'éloigner des violences.
Dans la nuit du 23 au 24 mars 2016, la ville de Bouna a été secouée par des violences qui ont connu une aggravation particulière avec à ce jour, 19 morts et plusieurs blessés dénombrés. Les affrontements de Bouna ont aussi occasionné 2680 déplacés internes . Depuis lors, des délégations ministérielles se succèdent sur place à Bouna pour tenter de faire baisser la tension.
Plus de 500 éléments des forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), 250 gendarmes et 140 policiers ont été déployés à Bouna pour maintenir l'ordre après ces affrontements intercommunautaires nés d'un conflit être agriculteur et éleveur .
LS/APA