Agboville - Quelque 150 Imams de la région de l'Agnéby-Tiassa se forment, de lundi à jeudi, à Agboville, sur les mécanismes de lutte contre le djihadisme et le radicalisme, à l'initiative du Conseil supérieur des Imams (COSIM).
Il faut donner aux Imams, la culture des signes de déviations et de radicalisation chez certains fidèles, afin que ces derniers soient très rapidement décelés, a expliqué l’imam Saïd Konaté, représentant le président du Cosim, le Cheick Boikary Fofana, insistant sur la nécessité de communiquer sur la vraie doctrine de l’Islam, loin des extrémistes, qui se cachent derrière des causes nobles, pour atteindre des buts ‘insensés’.
« L’islam n’est nullement concerné par le djihadisme, qui est une doctrine terroriste », a fait observer l’imam Ibrahim Diarra, de la mosquée d’Agboville, pour qui l’islam n’est ni la menace, ni la violence, et c’est ce qui justifie selon lui, le thème du séminaire, « la contribution de l’Islam à l’édification des valeurs spirituelles et morales dans la société ».
Le séminaire prend fin jeudi, par des résolutions.
(AIP)
dd/ask
Il faut donner aux Imams, la culture des signes de déviations et de radicalisation chez certains fidèles, afin que ces derniers soient très rapidement décelés, a expliqué l’imam Saïd Konaté, représentant le président du Cosim, le Cheick Boikary Fofana, insistant sur la nécessité de communiquer sur la vraie doctrine de l’Islam, loin des extrémistes, qui se cachent derrière des causes nobles, pour atteindre des buts ‘insensés’.
« L’islam n’est nullement concerné par le djihadisme, qui est une doctrine terroriste », a fait observer l’imam Ibrahim Diarra, de la mosquée d’Agboville, pour qui l’islam n’est ni la menace, ni la violence, et c’est ce qui justifie selon lui, le thème du séminaire, « la contribution de l’Islam à l’édification des valeurs spirituelles et morales dans la société ».
Le séminaire prend fin jeudi, par des résolutions.
(AIP)
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