Touba - Les établissements primaires et secondaires publics de Touba sont fermés suite à une grève entamée, lundi, par des syndicats d’enseignants, qui revendiquent, entre autres, le paiement d’arriérés d’indemnité de logement et de solde liés à leur reclassement (…)
Les enseignants protestent contre la presque fermeture du concours des inspecteurs de l’enseignement primaire à leur corporation. Les membres de la coalition pour la dignité des enseignants du secondaire de Côte d’Ivoire (CODESCI), un des syndicats du secondaire, protestent pour non-paiement d’arriérés de solde liés au reclassement et la non revalorisation de leur indemnité de logement.
Les écoles primaires publiques ont fermé, lundi, pendant que dans le secondaire, les membres du syndicat des enseignants du second degré (SYNESCI) dispensaient les cours au Lycée Gouverneur Abdoulaye Fadiga. Ils y ont été délogés, ce mardi, par la CODESCI, fait-on savoir.
« Nous ne comprenons pas pourquoi l’accès au concours des inspecteurs est ouvert à d’autres corporations. Il doit être destiné qu’aux enseignants du primaire qui sont formés et exercent dans ce secteur », s’est plaint Koné B, instituteur dans une école primaire de Touba.
(AIP)
dm/akn/ask
Les enseignants protestent contre la presque fermeture du concours des inspecteurs de l’enseignement primaire à leur corporation. Les membres de la coalition pour la dignité des enseignants du secondaire de Côte d’Ivoire (CODESCI), un des syndicats du secondaire, protestent pour non-paiement d’arriérés de solde liés au reclassement et la non revalorisation de leur indemnité de logement.
Les écoles primaires publiques ont fermé, lundi, pendant que dans le secondaire, les membres du syndicat des enseignants du second degré (SYNESCI) dispensaient les cours au Lycée Gouverneur Abdoulaye Fadiga. Ils y ont été délogés, ce mardi, par la CODESCI, fait-on savoir.
« Nous ne comprenons pas pourquoi l’accès au concours des inspecteurs est ouvert à d’autres corporations. Il doit être destiné qu’aux enseignants du primaire qui sont formés et exercent dans ce secteur », s’est plaint Koné B, instituteur dans une école primaire de Touba.
(AIP)
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