Abidjan - Les cours dans l’enseignement primaire et secondaire sont perturbés par une grève lancée depuis lundi par le mouvement des syndicats du secteur Education Formation (MESEF) sur l’ensemble du territoire national pour un arrêt de travail de 48 heures pour le primaire et de 72 heures pour le secondaire.
Les cours sont perturbés dans plusieurs localités du pays dont Lakota, Sikensi, Tiébissou, Dabakala et Séguéla, a-t-on constaté.
Le MESEF qui compte 13 syndicats, revendique 12 points parmi lesquels le paiement du stock des arriérés liés au reclassement, à la bonification indiciaire et à l’indemnité contributive au logement, l’achèvement du processus du déblocage des avancements.
Au niveau de l’enseignement primaire, le mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) a lancé une grève de deux jours motivée d’après le mot d’ordre par six points, à savoir le règlement définitif de la question des instituteurs adjoints et de la question des professeurs bivalents option anglais ainsi que le paiement de la totalité des arriérés liés à l’indemnité de logement et à la bonification indiciaire.
Le mot d’ordre du MIDD précise que cette grève est la résultante de sa demande d’audience restée sans suite au ministre de tutelle. Toutefois, il reste ouvert à la négociation. En cas de non satisfaction, il se réserve le droit de reconduire son mot d’ordre de grève, selon ses responsables.
(AIP)
gy/km/myk/gp/sy/kkf/ask
Les cours sont perturbés dans plusieurs localités du pays dont Lakota, Sikensi, Tiébissou, Dabakala et Séguéla, a-t-on constaté.
Le MESEF qui compte 13 syndicats, revendique 12 points parmi lesquels le paiement du stock des arriérés liés au reclassement, à la bonification indiciaire et à l’indemnité contributive au logement, l’achèvement du processus du déblocage des avancements.
Au niveau de l’enseignement primaire, le mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) a lancé une grève de deux jours motivée d’après le mot d’ordre par six points, à savoir le règlement définitif de la question des instituteurs adjoints et de la question des professeurs bivalents option anglais ainsi que le paiement de la totalité des arriérés liés à l’indemnité de logement et à la bonification indiciaire.
Le mot d’ordre du MIDD précise que cette grève est la résultante de sa demande d’audience restée sans suite au ministre de tutelle. Toutefois, il reste ouvert à la négociation. En cas de non satisfaction, il se réserve le droit de reconduire son mot d’ordre de grève, selon ses responsables.
(AIP)
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