Tengrela – Le directeur régional de l’éducation nationale (DREN) de la Bagoué, Bieza Gervais, prononçant une conférence vendredi à Tengrela a salué l’avènement des comités de gestion des établissements scolaires (COGES), qui selon lui a apporté des changements significatifs dans les établissements, tout en dénonçant des dysfonctionnements liés à une mauvaise interprétation des textes.
« Les COGES ont été institués pour intégrer le quatrième maillon du système éducatif, c’est-à-dire les parents d’élèves, dans la gestion de l’Ecole. Leur introduction a beaucoup apporté dans la gestion des établissements scolaires. L’entretien des équipements, des bâtiments, le déficit d’enseignants, les cantines scolaires, la sensibilisation à la scolarisation des enfants notamment des filles, le suivi de l’évolution des effectifs », a énuméré M. Bieza à l’occasion de la célébration éclatée des 20 ans des COGES.
Il a toutefois relevé des dysfonctionnements liés selon lui à une mauvaise interprétation des textes, à la méconnaissance des rôles et des attributions des acteurs et très souvent à une mauvaise gestion des ressources financières.
« Les missions nobles des COGES ont été souvent mal comprises ou parfois dévoyées par les acteurs de la communauté éducative à telle enseigne qu’au lieu d’être une solution aux problèmes qui minent l’école ivoirienne, les COGES ont plutôt été à certains endroits les sources des problèmes », a-t-il déploré.
Les COGES ont été créés en 1995 dans le but d’apporter une réponse aux difficultés de l’Etat en amenant les parents d’élèves à participer à la gestion des établissements scolaires.
(AIP)
tmpo/kam
« Les COGES ont été institués pour intégrer le quatrième maillon du système éducatif, c’est-à-dire les parents d’élèves, dans la gestion de l’Ecole. Leur introduction a beaucoup apporté dans la gestion des établissements scolaires. L’entretien des équipements, des bâtiments, le déficit d’enseignants, les cantines scolaires, la sensibilisation à la scolarisation des enfants notamment des filles, le suivi de l’évolution des effectifs », a énuméré M. Bieza à l’occasion de la célébration éclatée des 20 ans des COGES.
Il a toutefois relevé des dysfonctionnements liés selon lui à une mauvaise interprétation des textes, à la méconnaissance des rôles et des attributions des acteurs et très souvent à une mauvaise gestion des ressources financières.
« Les missions nobles des COGES ont été souvent mal comprises ou parfois dévoyées par les acteurs de la communauté éducative à telle enseigne qu’au lieu d’être une solution aux problèmes qui minent l’école ivoirienne, les COGES ont plutôt été à certains endroits les sources des problèmes », a-t-il déploré.
Les COGES ont été créés en 1995 dans le but d’apporter une réponse aux difficultés de l’Etat en amenant les parents d’élèves à participer à la gestion des établissements scolaires.
(AIP)
tmpo/kam