Le président du Parti pour la refondation de la Côte d’Ivoire (PARCI), Me Maurice Dié, a décidé de mener le combat pour la démocratie aux côtés du président du Fpi, Affi N’Guessan. « L’objet de ma visite, c’est pour annoncer mon alliance au président Pascal Affi N’Guessan, et à travers lui, au Front populaire ivoirien », a déclaré le président du Parci, à l’occasion d’une visite qu’il a effectuée récemment au siège de Notre Voie, à la Riviera-Palmeraie.
« J’aime la sagesse contrairement à la violence », a dit le chef du PARCI pour motiver sa démarche. Des stratégies pour sortir le président Laurent Gbagbo de la prison de La Haye où il est détenu depuis 2011, le leader politique a fait remarquer qu’il faut faire totalement bloc autour du président du Fpi pour engager le dialogue avec le pouvoir. « Il faut surtout éviter les palabres inutiles pour le faire libérer des griffes de la Cpi », a-t-il conseillé.
Selon Me Maurice Dié, la vision du président du Fpi n’est pas une trahison à l’endroit du président Laurent Gbagbo. « Pour moi, la seule issue, c’est la voie de la négociation pour aller à la réconciliation et à la paix. Sinon on va s’étendre dans des palabres inutiles et ça n’avancera pas». Me Dié a aussi parlé des élections présidentielles de 2010. Sur la question, il a indiqué que c’était une grave erreur d’organiser la présidentielle pendant que le Nord était occupé par la rébellion. « De Tiébissou à Korhogo et même au-delà, le président Laurent Gbagbo ne contrôlait rien. Donc, il ne fallait pas aller aux élections. Les armes circulaient encore », s’est-il plaint.
Vincent Deh
« J’aime la sagesse contrairement à la violence », a dit le chef du PARCI pour motiver sa démarche. Des stratégies pour sortir le président Laurent Gbagbo de la prison de La Haye où il est détenu depuis 2011, le leader politique a fait remarquer qu’il faut faire totalement bloc autour du président du Fpi pour engager le dialogue avec le pouvoir. « Il faut surtout éviter les palabres inutiles pour le faire libérer des griffes de la Cpi », a-t-il conseillé.
Selon Me Maurice Dié, la vision du président du Fpi n’est pas une trahison à l’endroit du président Laurent Gbagbo. « Pour moi, la seule issue, c’est la voie de la négociation pour aller à la réconciliation et à la paix. Sinon on va s’étendre dans des palabres inutiles et ça n’avancera pas». Me Dié a aussi parlé des élections présidentielles de 2010. Sur la question, il a indiqué que c’était une grave erreur d’organiser la présidentielle pendant que le Nord était occupé par la rébellion. « De Tiébissou à Korhogo et même au-delà, le président Laurent Gbagbo ne contrôlait rien. Donc, il ne fallait pas aller aux élections. Les armes circulaient encore », s’est-il plaint.
Vincent Deh