Le Président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro qui dit être "rattrapé" par son passé d’ancien leader de mouvement d’étudiants n’est pas "indifférent" face à la crise qui secoue les universités publiques ivoiriennes, proposant, lundi, ses bons offices pour ramener la "paix et la quiétude" dans l’espace universitaire.
"Depuis quelques jours, je vois sur mon téléphone, dans les mails, beaucoup d’interpellations. Imaginez vous-mêmes que je ne peux être indifférents", a déclaré M. Soro, interrogé par la presse à l’issue d’une audience accordée à l’artiste Petit Denis.
"Malgré le principe sacro-saint de la séparation du pouvoir qui veut que ce ne soit pas le président de l’Assemblée nationale de s’occuper au quotidien des questions de l’université (...) J’ai décidé de demander à rencontrer le président de la République et le gouvernement pour que ma connaissance des questions universitaires et mon passé de militant syndicaliste puisse servir à ramener la paix et la quiétude, sans bruits", a-t-il ajouté.
"Je m’impliquerai sans bruits dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire", a annoncé Guillaume Kigbafori Soro , ajoutant que "je pense aujourd’hui que mon passé me rattrape en tant que ancien leader de mouvement d’étudiants et je ne peux donc pas rester indifférent quand il y a des troubles à l’université ou quand il y a un début de crise à l’université".
M. Soro a été le Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) de 1995 à 1998 alors qu’il préparait une licence en anglais à l’Université d’Abidjan.
L’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan-Cocody a été le théâtre d’affrontements la semaine dernière entre des policiers et des étudiants qui avaient à l’initiative de la FESCI enclenché un mouvement de grève pour revendiquer des meilleurs conditions d’études et protester contre la réquisition prochaine des chambres des cités universitaires au profit des athlètes des jeux de la Francophonie que la Côte d’Ivoire va accueillir en 2017.
Plusieurs étudiants ont été arrêtés à l’issue de ces mouvements parmi lesquels Fulgence Assi, le Secrétaire générale de la FESCI qui a été transféré depuis jeudi à la Maison d’arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA), selon ses proches.
LS/APA
"Depuis quelques jours, je vois sur mon téléphone, dans les mails, beaucoup d’interpellations. Imaginez vous-mêmes que je ne peux être indifférents", a déclaré M. Soro, interrogé par la presse à l’issue d’une audience accordée à l’artiste Petit Denis.
"Malgré le principe sacro-saint de la séparation du pouvoir qui veut que ce ne soit pas le président de l’Assemblée nationale de s’occuper au quotidien des questions de l’université (...) J’ai décidé de demander à rencontrer le président de la République et le gouvernement pour que ma connaissance des questions universitaires et mon passé de militant syndicaliste puisse servir à ramener la paix et la quiétude, sans bruits", a-t-il ajouté.
"Je m’impliquerai sans bruits dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire", a annoncé Guillaume Kigbafori Soro , ajoutant que "je pense aujourd’hui que mon passé me rattrape en tant que ancien leader de mouvement d’étudiants et je ne peux donc pas rester indifférent quand il y a des troubles à l’université ou quand il y a un début de crise à l’université".
M. Soro a été le Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) de 1995 à 1998 alors qu’il préparait une licence en anglais à l’Université d’Abidjan.
L’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan-Cocody a été le théâtre d’affrontements la semaine dernière entre des policiers et des étudiants qui avaient à l’initiative de la FESCI enclenché un mouvement de grève pour revendiquer des meilleurs conditions d’études et protester contre la réquisition prochaine des chambres des cités universitaires au profit des athlètes des jeux de la Francophonie que la Côte d’Ivoire va accueillir en 2017.
Plusieurs étudiants ont été arrêtés à l’issue de ces mouvements parmi lesquels Fulgence Assi, le Secrétaire générale de la FESCI qui a été transféré depuis jeudi à la Maison d’arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA), selon ses proches.
LS/APA