La date du 30 avril 1990 a consacré, en application de l’article 7 de la constitution de 1960, la réinstauration dans les faits de la liberté de création et de fonctionnement des partis politiques d’opposition en cote d’ivoire.
Cet historique pas vers le multipartisme et contre le parti unique d’alors et ses dérives liberticides marque une avancée particulière de la lutte menée par le fpi et les ivoiriens épris de démocratie.
Aussi, la date du 30 avril est-elle pour le Fpi un symbole de liberté d’expression plurielle qu’il convient de célébrer et de commémorer chaque année ; ce que le Fpi a fait dès le 30 avril 1991.
Toutefois, celle-ci n’a pas été possible de 2002 a 2009, au regard de la partition de fait du pays suite à la crise militaro-politique qu’a connu la côte d'ivoire.
En raison du procès en cours à la Cpi du président Laurent Gbagbo et du ministre Charles Blé Goudé, d’une part, et d’un grand nombre de nos camarades encore en détention ou en exil, d’autre part, le parti a décidé de leur rendre hommage en leur consacrant entièrement l’édition 2016 de sa traditionnelle fête de la liberté qui, cette année, aura lieu du 30 avril au 30 mai 2016.
La fête de la liberté 2016 est donc placée sous le signe de la solidarité aux prisonniers politiques de la crise post-électorale.
A cet égard, durant cette période, plusieurs délégations du parti effectueront dans les différentes prisons du pays des visites de compassion et de solidarité à nos camarades détenus politiques.
La première visite, dont la délégation sera conduite par la secrétaire générale Agnès Monnet et la vice-présidente Christine Adjobi, aura lieu le 30 avril 2016 à la Maca.
Le Fpi voudrait saisir cette occasion pour rappeler au chef de l’état ses engagements pris en décembre 2015 à l’occasion de son discours à la nation de faire libérer tous les prisonniers politiques et de garantir le retour sécurisé des exilés politiques.
Le Fpi rappelle par ailleurs que toute la communauté nationale et internationale, consciente de l’importance pour la paix et la stabilité politique que la liberté d'expression, d'opinion et daller et venir soient une réalité , attend du chef de l’Etat qu’il cesse les poursuites ciblées contre les seuls militants de l’opposition et, partant, qu’il prenne courageusement les décisions adéquates de nature à favoriser la réconciliation nationale inclusive et qui garantissent l’exercice effectif, apaisé et durable des libertés et de la démocratie en République de Côte d’Ivoire.
vivre la liberté.
Fait à Abidjan, le 29 avril 2016
Agnès Monnet
Sg et porte-parole du Fpi
Cet historique pas vers le multipartisme et contre le parti unique d’alors et ses dérives liberticides marque une avancée particulière de la lutte menée par le fpi et les ivoiriens épris de démocratie.
Aussi, la date du 30 avril est-elle pour le Fpi un symbole de liberté d’expression plurielle qu’il convient de célébrer et de commémorer chaque année ; ce que le Fpi a fait dès le 30 avril 1991.
Toutefois, celle-ci n’a pas été possible de 2002 a 2009, au regard de la partition de fait du pays suite à la crise militaro-politique qu’a connu la côte d'ivoire.
En raison du procès en cours à la Cpi du président Laurent Gbagbo et du ministre Charles Blé Goudé, d’une part, et d’un grand nombre de nos camarades encore en détention ou en exil, d’autre part, le parti a décidé de leur rendre hommage en leur consacrant entièrement l’édition 2016 de sa traditionnelle fête de la liberté qui, cette année, aura lieu du 30 avril au 30 mai 2016.
La fête de la liberté 2016 est donc placée sous le signe de la solidarité aux prisonniers politiques de la crise post-électorale.
A cet égard, durant cette période, plusieurs délégations du parti effectueront dans les différentes prisons du pays des visites de compassion et de solidarité à nos camarades détenus politiques.
La première visite, dont la délégation sera conduite par la secrétaire générale Agnès Monnet et la vice-présidente Christine Adjobi, aura lieu le 30 avril 2016 à la Maca.
Le Fpi voudrait saisir cette occasion pour rappeler au chef de l’état ses engagements pris en décembre 2015 à l’occasion de son discours à la nation de faire libérer tous les prisonniers politiques et de garantir le retour sécurisé des exilés politiques.
Le Fpi rappelle par ailleurs que toute la communauté nationale et internationale, consciente de l’importance pour la paix et la stabilité politique que la liberté d'expression, d'opinion et daller et venir soient une réalité , attend du chef de l’Etat qu’il cesse les poursuites ciblées contre les seuls militants de l’opposition et, partant, qu’il prenne courageusement les décisions adéquates de nature à favoriser la réconciliation nationale inclusive et qui garantissent l’exercice effectif, apaisé et durable des libertés et de la démocratie en République de Côte d’Ivoire.
vivre la liberté.
Fait à Abidjan, le 29 avril 2016
Agnès Monnet
Sg et porte-parole du Fpi