Permettre aux producteurs et aux décideurs en matière de recherche de se rencontrer autour de la problématique de la relation entre l’environnement de la production, la qualité et l’utilisation des résultats de la recherche en Sciences sociales. C’est l’objectif du séminaire de dissémination des résultats de l’étude sur la conduite de la recherche en Sciences sociales qui s’est tenu, ce vendredi 29 avril 2016, à la bibliothèque de l’UFR des Sciences économiques de l’université Félix Houphouët- Boigny d’Abidjan, autour du thème : « Evaluation de l’environnement de la recherche en Sciences sociales ».
En effet, force est de constater, comme évoqué à cette rencontre, que l’environnement de la recherche en Côte d’Ivoire souffre d’insuffisances avec pour conséquences notamment une faible qualité des résultats. Le manque d’infrastructures, la difficulté d’accès à l’information et aux bases de données de centres de recherches sont des tares à corriger et qui permettraient, in fine, aux chercheurs d’avoir de bons résultats de production. « Les principaux problèmes auxquels font face les institutions de recherches et les chercheurs en Côte d’Ivoire concernent en premier lieu les infrastructures. Nous n’avons pas suffisamment de bibliothèques puisque la recherche est conditionnée par l’accès à la documentation», a déploré Prof Ahoulé Alban, Directeur de la Cellule d’analyse de politiques économiques du CIRES (CAPEC), qui présentait les résultats de l’étude sur l’évaluation de l’environnement de la recherche en Sciences sociales. Il a surtout insisté sur la disponibilité des bureaux pour les chercheurs ainsi que la question du renforcement de capacités.
Notons que pour atteindre son ambition de pays émergent en 2020 contenu dans le Plan national de développement (PND), la Côte d’Ivoire doit se doter d’outils de recherches scientifiques pour impulser le développement économique et contribuer au mieux être des populations.
Aussi, le programme Global Développement Network (GDN) dans sa mission de soutenir les autorités et de promouvoir l’essor de la recherche scientifique dans le pays, s’est donné pour mission l’analyse des obstacles à la qualité, la quantité et à la pertinence de la recherche en Sciences sociales en Côte d’Ivoire.
Danielle Tagro
En effet, force est de constater, comme évoqué à cette rencontre, que l’environnement de la recherche en Côte d’Ivoire souffre d’insuffisances avec pour conséquences notamment une faible qualité des résultats. Le manque d’infrastructures, la difficulté d’accès à l’information et aux bases de données de centres de recherches sont des tares à corriger et qui permettraient, in fine, aux chercheurs d’avoir de bons résultats de production. « Les principaux problèmes auxquels font face les institutions de recherches et les chercheurs en Côte d’Ivoire concernent en premier lieu les infrastructures. Nous n’avons pas suffisamment de bibliothèques puisque la recherche est conditionnée par l’accès à la documentation», a déploré Prof Ahoulé Alban, Directeur de la Cellule d’analyse de politiques économiques du CIRES (CAPEC), qui présentait les résultats de l’étude sur l’évaluation de l’environnement de la recherche en Sciences sociales. Il a surtout insisté sur la disponibilité des bureaux pour les chercheurs ainsi que la question du renforcement de capacités.
Notons que pour atteindre son ambition de pays émergent en 2020 contenu dans le Plan national de développement (PND), la Côte d’Ivoire doit se doter d’outils de recherches scientifiques pour impulser le développement économique et contribuer au mieux être des populations.
Aussi, le programme Global Développement Network (GDN) dans sa mission de soutenir les autorités et de promouvoir l’essor de la recherche scientifique dans le pays, s’est donné pour mission l’analyse des obstacles à la qualité, la quantité et à la pertinence de la recherche en Sciences sociales en Côte d’Ivoire.
Danielle Tagro