Bouna - Le président de la République, Alassane Ouattara, s’adressant aux populations du Bounkani, lors de sa visite de compassion et de solidarité, samedi à Bouna, a proposé une migration progressive de la transhumance vers l’élevage sédentaire.
Pour M. Ouattara, il faut tirer les leçons des conflits nés à la suite des incompréhensions entre agriculteurs et éleveurs à travers le pays, estimant que la côte d’Ivoire ne doit plus s’accommoder d’un élevage transhumant qui ne correspond plus aux réalités du monde moderne avec aussi des conséquences sur le monde moderne.
« Nous devons adapter nos pratiques culturales à ce contexte nouveau. La transhumance, réalité à la fois économique, culturelle et sociale doit progressivement céder la place à un élevage sédentaire qui offre de meilleures perspectives en termes de rendements et de revenus pour les populations », a-t-il conseillé.
M. Ouattara a levé un coin de voile sur des dispositions envisagées pour réduire les risques de conflits éleveurs-agriculteurs. Ce sont, a-t-il énuméré, la mise en place d’un programme de réhabilitation et de réhabilitation de barrages pastoraux, l’aménagement de pâturages à proximité des barrages, la création des couloirs de transhumance pour atteindre les barrages, l’aménagement d’étables pour le repos des bétails et la construction de parcs à bétail.
Le parc à bétail de Bouna coûtera la somme d’un milliard de francs CFA, a révélé le Président Ouattara.
(AIP)
fmo/tm
Pour M. Ouattara, il faut tirer les leçons des conflits nés à la suite des incompréhensions entre agriculteurs et éleveurs à travers le pays, estimant que la côte d’Ivoire ne doit plus s’accommoder d’un élevage transhumant qui ne correspond plus aux réalités du monde moderne avec aussi des conséquences sur le monde moderne.
« Nous devons adapter nos pratiques culturales à ce contexte nouveau. La transhumance, réalité à la fois économique, culturelle et sociale doit progressivement céder la place à un élevage sédentaire qui offre de meilleures perspectives en termes de rendements et de revenus pour les populations », a-t-il conseillé.
M. Ouattara a levé un coin de voile sur des dispositions envisagées pour réduire les risques de conflits éleveurs-agriculteurs. Ce sont, a-t-il énuméré, la mise en place d’un programme de réhabilitation et de réhabilitation de barrages pastoraux, l’aménagement de pâturages à proximité des barrages, la création des couloirs de transhumance pour atteindre les barrages, l’aménagement d’étables pour le repos des bétails et la construction de parcs à bétail.
Le parc à bétail de Bouna coûtera la somme d’un milliard de francs CFA, a révélé le Président Ouattara.
(AIP)
fmo/tm