Inciter les femmes à entreprendre et surtout les inviter à adhérer à la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire(Cgeci). Tel était l’objet de la rencontre initiée par Mme Touré Massogbè, présidente de la Commission développement de l’entrepreneuriat féminin (Cdef) de la Cgeci, le mercredi dernier à Novotel Abidjan-Plateau.
La première femme industrielle dans la filière cajou a expliqué aux participantes les conditions d’adhésion qui ont tourné autour du droit d’adhésion unique, fixé à 500.000F. A côté de cela, il y a les cotisations annuelles qui sont fonction du chiffre d’affaires. Non sans insister sur le bien fondé d’appartenir à l’instance patronale.
Pour elle, devenir membre de la Cgeci, permet aux entreprises de booster la compétitivité, d’élargir le chiffre d’affaires à travers un réseautage, d’être accompagnés, défendus dans certains cas et faire face à la force publique. Aussi bien bénéficier d’informations primordiales pour l’activité concernée.
A la question de savoir s’il y avait possibilité pour les jeunes entreprises de régler l’adhésion en plusieurs modalités de paiement, Mme Touré à promis de faire un plaidoyer auprès de ses collaborateurs afin que plusieurs entreprises puissent trouver leur place au sein de ladite confédération.
Il a été rappelé aux entrepreneurs, le projet engagé avec une banque commerciale nationale dans le but d’accompagner financièrement et techniquement des femmes dans leurs projets. Car, l’accès au financement a été au cours de ces échanges présenté pour la plupart comme le frein à l’éclosion pour de leur activité.
La première femme industrielle dans la filière cajou a expliqué aux participantes les conditions d’adhésion qui ont tourné autour du droit d’adhésion unique, fixé à 500.000F. A côté de cela, il y a les cotisations annuelles qui sont fonction du chiffre d’affaires. Non sans insister sur le bien fondé d’appartenir à l’instance patronale.
Pour elle, devenir membre de la Cgeci, permet aux entreprises de booster la compétitivité, d’élargir le chiffre d’affaires à travers un réseautage, d’être accompagnés, défendus dans certains cas et faire face à la force publique. Aussi bien bénéficier d’informations primordiales pour l’activité concernée.
A la question de savoir s’il y avait possibilité pour les jeunes entreprises de régler l’adhésion en plusieurs modalités de paiement, Mme Touré à promis de faire un plaidoyer auprès de ses collaborateurs afin que plusieurs entreprises puissent trouver leur place au sein de ladite confédération.
Il a été rappelé aux entrepreneurs, le projet engagé avec une banque commerciale nationale dans le but d’accompagner financièrement et techniquement des femmes dans leurs projets. Car, l’accès au financement a été au cours de ces échanges présenté pour la plupart comme le frein à l’éclosion pour de leur activité.