Dakar (Sénégal) - Le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) a su "harmoniser, consolider et faire monter en puissance" les systèmes d’enseignement supérieur de ses pays membres, a affirmé jeudi à Dakar Mahammed Boun Abdallah Dionne, Premier ministre du Sénégal.
«Dans son évolution au cours de ces trois décennies, le CAMES a su, conformément aux missions qui lui ont été confiées, créer, consolider et faire monter en puissance les bases de l'harmonisation et de l'intégration de nos systèmes d'enseignement supérieur, au-delà de leurs différences, voire de leurs disparités», a dit M. Dionne à l'ouverture de la 33ème session du Conseil des ministres du CAMES.
Pour le Premier ministre sénégalais, cet effort du CAMES est d'autant plus à saluer que "le Conseil, dans sa volonté de concrétiser la vision de ses fondateurs, n'a de cesse à s'inscrire dans une dynamique de progrès qui a fait de cette institution non seulement une instance de coordination et d'harmonisation, mais aussi un instrument de coopération multilatérale permanente entre nos pays dans les domaines de la culture et de la science".
«Le CAMES, dans la priorité qu'il a fait sienne de rendre de plus en plus performant le système d'enseignement et de recherche, doit miser sur une appropriation saine et citoyenne des technologies de l'information et de la communication. C'est par elles, unis comme les doigts d'une main, que nous réussirons à consolider et à dynamiser nos politiques d'enseignement supérieur et de recherche», a poursuivi Mahammed Boun Abdallah Dionne.
TE/od
«Dans son évolution au cours de ces trois décennies, le CAMES a su, conformément aux missions qui lui ont été confiées, créer, consolider et faire monter en puissance les bases de l'harmonisation et de l'intégration de nos systèmes d'enseignement supérieur, au-delà de leurs différences, voire de leurs disparités», a dit M. Dionne à l'ouverture de la 33ème session du Conseil des ministres du CAMES.
Pour le Premier ministre sénégalais, cet effort du CAMES est d'autant plus à saluer que "le Conseil, dans sa volonté de concrétiser la vision de ses fondateurs, n'a de cesse à s'inscrire dans une dynamique de progrès qui a fait de cette institution non seulement une instance de coordination et d'harmonisation, mais aussi un instrument de coopération multilatérale permanente entre nos pays dans les domaines de la culture et de la science".
«Le CAMES, dans la priorité qu'il a fait sienne de rendre de plus en plus performant le système d'enseignement et de recherche, doit miser sur une appropriation saine et citoyenne des technologies de l'information et de la communication. C'est par elles, unis comme les doigts d'une main, que nous réussirons à consolider et à dynamiser nos politiques d'enseignement supérieur et de recherche», a poursuivi Mahammed Boun Abdallah Dionne.
TE/od