Amnesty international se fait à nouveau entendre dans le dossier du mandat de transfèrement visant l'ex-Première dame Simone Gbagbo devant la Cour pénale internationale (Cpi).
Au même moment où s'ouvrait, le lundi 9 mai à Abidjan, son second procès devant une juridiction nationale (Cour d'assises), l'organisation internationale de défense des droits humains basée à Londres (Grande-Bretagne) publiait un communiqué pour exiger son transfèrement à La Haye.
Dans le document de presse, Amnesty se montre même catégorique sur la question. En effet, l'on relève que si le procès qui s'est ouvert hier à Abidjan est une étape importante pour mettre fin à l'impunité, les autorités ivoiriennes doivent reconsidérer leur refus suite de l'article sur L’Inter
Au même moment où s'ouvrait, le lundi 9 mai à Abidjan, son second procès devant une juridiction nationale (Cour d'assises), l'organisation internationale de défense des droits humains basée à Londres (Grande-Bretagne) publiait un communiqué pour exiger son transfèrement à La Haye.
Dans le document de presse, Amnesty se montre même catégorique sur la question. En effet, l'on relève que si le procès qui s'est ouvert hier à Abidjan est une étape importante pour mettre fin à l'impunité, les autorités ivoiriennes doivent reconsidérer leur refus suite de l'article sur L’Inter