Ali Ouattara, le président de la Coalition ivoirienne pour la Cour pénale internationale (Cpi) s’est prononcé sur le procès pour crimes contre l’humanité de l’ex-première Dame, Simone Gbagbo. C’était le mardi 10 mai 2016 sur Onuci-Fm.
Il a signifié que par le passé, des erreurs ont été faites sur la confidentialité des témoins. Pour cela, il souhaiterait que de telles erreurs soient évitées afin que d’éventuels témoins ne se rétractent ou se dédisent.
Ali Ouattara a profité de l’occasion pour donner la position de sa coalition à propos de ce procès. A ce titre, il a indiqué que le monde entier doit savoir ce qui s’est réellement passé pendant la crise postélectorale de 2010-2011.
Il a donc souhaité que le procès de Mme Gbagbo se déroule « dans l’équité totale, la transparence totale et qu’on mette au bout du compte l’intérêt des victimes ».
Enfin, selon lui, il faut aller au-delà des considérations politiques et ne dire que les textes. « C’est ce qui est le plus important pour les victimes de la crise », estime le président de la Coalition ivoirienne pour la Cpi.
Rappelons que le dossier pour crimes contre l’humanité de l’ex-première Dame sera ouvert le 31 mai 2013 au tribunal de Yopougon.
TZ
Il a signifié que par le passé, des erreurs ont été faites sur la confidentialité des témoins. Pour cela, il souhaiterait que de telles erreurs soient évitées afin que d’éventuels témoins ne se rétractent ou se dédisent.
Ali Ouattara a profité de l’occasion pour donner la position de sa coalition à propos de ce procès. A ce titre, il a indiqué que le monde entier doit savoir ce qui s’est réellement passé pendant la crise postélectorale de 2010-2011.
Il a donc souhaité que le procès de Mme Gbagbo se déroule « dans l’équité totale, la transparence totale et qu’on mette au bout du compte l’intérêt des victimes ».
Enfin, selon lui, il faut aller au-delà des considérations politiques et ne dire que les textes. « C’est ce qui est le plus important pour les victimes de la crise », estime le président de la Coalition ivoirienne pour la Cpi.
Rappelons que le dossier pour crimes contre l’humanité de l’ex-première Dame sera ouvert le 31 mai 2013 au tribunal de Yopougon.
TZ