Abidjan - Les chrétiens de Côte d’Ivoire, à l’instar de ceux du monde entier, commémorent dimanche, la fête de la Pentecôte, symbolisant la descente du Saint-Esprit sur les apôtres de Jésus-Christ cinquante jours après sa résurrection des morts.
Fête juive, la Pentecôte la plus décisive fut celle du Nouveau testament où retranchée dans une pièce, les apôtres de Jésus-Christ reçurent le baptême du Saint-Esprit vers la troisième heure du jour (probablement 9 heures) conformément à la promesse faite par leur maître (actes 2 V1-20) de leur envoyer l’Esprit Saint en guise de consolateur.
Selon la Révérende Pasteur Solange Djirabou de l’Eglise méthodiste unie Côte d’Ivoire, l’effusion du Saint-Esprit s’est manifestée sur trois formes à savoir « dispensé directement de Dieu sous forme de feu posé sur chacun des disciples » (Act 2 V1-20), « par imposition des mains des serviteurs de Dieu » (Act 19 V2-9) et enfin par « la prédication de la Parole avant ou après le baptême d’eau » (Act 10 V34-48).
Dans l’Ancien Testament, précise Pasteur Djirabou, la Pentecôte faisait partie des trois solennités annuelles juives avec la Pâques et le Tabernacle au cours desquelles les Israélites devraient se présenter devant le sanctuaire à Jérusalem. C’était la première fête relativement aux récoltes (Exode 34 V22 et 2 Chroniques 8 V12).
Pour cela, elle était aussi appelée « fête des semaines » parce que sa date était fixée sept semaines après l’offrande de la gerbe des prémices de l’orge, symbole de la consécration de la moisson. La « fête des semaines » fut le nom de Pentecôte parce qu’elle se célébrait le cinquantième jour après le balancement de la gerbe (Lévitique 23 V15-16, Deutéronome 16 V9-10).
La Pentecôte intervient cinquante jours après le résurrection de de Jésus-Christ et 10 jours après son ascension au ciel, souligne-t-on.
fmo/kam
Fête juive, la Pentecôte la plus décisive fut celle du Nouveau testament où retranchée dans une pièce, les apôtres de Jésus-Christ reçurent le baptême du Saint-Esprit vers la troisième heure du jour (probablement 9 heures) conformément à la promesse faite par leur maître (actes 2 V1-20) de leur envoyer l’Esprit Saint en guise de consolateur.
Selon la Révérende Pasteur Solange Djirabou de l’Eglise méthodiste unie Côte d’Ivoire, l’effusion du Saint-Esprit s’est manifestée sur trois formes à savoir « dispensé directement de Dieu sous forme de feu posé sur chacun des disciples » (Act 2 V1-20), « par imposition des mains des serviteurs de Dieu » (Act 19 V2-9) et enfin par « la prédication de la Parole avant ou après le baptême d’eau » (Act 10 V34-48).
Dans l’Ancien Testament, précise Pasteur Djirabou, la Pentecôte faisait partie des trois solennités annuelles juives avec la Pâques et le Tabernacle au cours desquelles les Israélites devraient se présenter devant le sanctuaire à Jérusalem. C’était la première fête relativement aux récoltes (Exode 34 V22 et 2 Chroniques 8 V12).
Pour cela, elle était aussi appelée « fête des semaines » parce que sa date était fixée sept semaines après l’offrande de la gerbe des prémices de l’orge, symbole de la consécration de la moisson. La « fête des semaines » fut le nom de Pentecôte parce qu’elle se célébrait le cinquantième jour après le balancement de la gerbe (Lévitique 23 V15-16, Deutéronome 16 V9-10).
La Pentecôte intervient cinquante jours après le résurrection de de Jésus-Christ et 10 jours après son ascension au ciel, souligne-t-on.
fmo/kam
