Agboville - Les militants d’Agboville ont dénoncé samedi, lors de la rencontre avec une délégation de la direction conduite par le vice-président Yapo Atsé Benjamin, la politique de communication du Front populaire ivoirien (FPI, opposition).
Selon le secrétaire de section de Moutcho, Apata Gustave, le fait de ne pas prendre position à temps est « préjudiciable » au parti, comme ce fut le cas avec l’augmentation récente et importante du coût de la facture d’électricité, dénoncée d’ailleurs par les populations en Côte d’Ivoire.
« Sachons intervenir et à propos, afin de gagner la bataille de l’opinion », a-t-il déclaré.
Pour un autre militant du parti présidé par Pascal Affi N’Guessan, « il faut aller dans le sens de l’opinion sinon, notre silence peut s’interpréter à une connivence avec le pouvoir », a-t-il ajouté, demandant à la direction de mettre en place une véritable politique de communication, afin de devancer et non subir l’information.
En réaction, le vice-président Yapo Atsé a indiqué que le FPI n’est pas le gendarme des syndicats et de la société civile.
D’ailleurs, a-t-il ajouté, un parti politique ne peut prendre la place des syndicats qui se doivent de gérer leur problème, lancer un mot d’ordre, avant que le parti politique, s’il le veut et/ou le peut, ne se prononce.
La faiblesse de la communication de son parti est la détention, par la dissidence du FPI, de la grande majorité des journaux de l’opposition, a-t-il toutefois reconnu.
(AIP)
Dd/akn/kp
Selon le secrétaire de section de Moutcho, Apata Gustave, le fait de ne pas prendre position à temps est « préjudiciable » au parti, comme ce fut le cas avec l’augmentation récente et importante du coût de la facture d’électricité, dénoncée d’ailleurs par les populations en Côte d’Ivoire.
« Sachons intervenir et à propos, afin de gagner la bataille de l’opinion », a-t-il déclaré.
Pour un autre militant du parti présidé par Pascal Affi N’Guessan, « il faut aller dans le sens de l’opinion sinon, notre silence peut s’interpréter à une connivence avec le pouvoir », a-t-il ajouté, demandant à la direction de mettre en place une véritable politique de communication, afin de devancer et non subir l’information.
En réaction, le vice-président Yapo Atsé a indiqué que le FPI n’est pas le gendarme des syndicats et de la société civile.
D’ailleurs, a-t-il ajouté, un parti politique ne peut prendre la place des syndicats qui se doivent de gérer leur problème, lancer un mot d’ordre, avant que le parti politique, s’il le veut et/ou le peut, ne se prononce.
La faiblesse de la communication de son parti est la détention, par la dissidence du FPI, de la grande majorité des journaux de l’opposition, a-t-il toutefois reconnu.
(AIP)
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