Le leader d’un camp du Front populaire ivoirien (FPI, opposition) Abou Drahamane Sangaré, a souhaité lundi, la retransmission en direct à la télévision publique, du procès en assises de l’ex-Première dame Simone Gbagbo, poursuivie pour "crimes de guerre et crimes contre l'humanité" lors des violences postélectorales de 2010-2011.
"Je demande au pouvoir en place", de "laisser Simone Gbagbo s’exprimer en direct à la télévision ivoirienne, lors du procès" fixé au 31 mai, "pour que les Ivoiriens l'entendent et puissent la juger", a affirmé M. Sangaré, lors d’un meeting à Bonoua (50 kilomètres à l’Est d’Abidjan).
Pour lui, l’ex-première dame "sortira" de prison tout comme son époux Laurent Gbagbo, en proçès à La Haye pour "crimes contre l’humanité" lors de la crise postélectorale qui a fait officiellement plus de 3.000 morts.
M. Sangaré a appelé les militants à s’"engager" à travers une pétition pour "la libération de" M.Gbagbo.
Condamnée à 20 ans de prison ferme en mars 2015 pour "atteinte à l’autorité de l’Etat et trouble à l’ordre public" durant la crise postélectorale, Simone Gbagbo est également poursuivie par la CPI pour "crimes contre l’humanité".
EFI
"Je demande au pouvoir en place", de "laisser Simone Gbagbo s’exprimer en direct à la télévision ivoirienne, lors du procès" fixé au 31 mai, "pour que les Ivoiriens l'entendent et puissent la juger", a affirmé M. Sangaré, lors d’un meeting à Bonoua (50 kilomètres à l’Est d’Abidjan).
Pour lui, l’ex-première dame "sortira" de prison tout comme son époux Laurent Gbagbo, en proçès à La Haye pour "crimes contre l’humanité" lors de la crise postélectorale qui a fait officiellement plus de 3.000 morts.
M. Sangaré a appelé les militants à s’"engager" à travers une pétition pour "la libération de" M.Gbagbo.
Condamnée à 20 ans de prison ferme en mars 2015 pour "atteinte à l’autorité de l’Etat et trouble à l’ordre public" durant la crise postélectorale, Simone Gbagbo est également poursuivie par la CPI pour "crimes contre l’humanité".
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