Le siège du journal ‘’L’Eclaireur’’, a servi de cadre le mercredi 18 mai 2016 à la structure ‘’Arc-en-ciel’’, sa société éditrice d’organiser une plate-forme d’échanges entre les acteurs du monde de la presse, relative à la problématique de la chute des ventes des journaux.
Oumar Bakayoko, membre des distributeurs de journaux en Côte d’Ivoire a énuméré les causes de la chute de vente des journaux. Selon lui, cette chute est due d’abord aux organes de presse qui élaborent de mauvais titrage. Il a aussi expliqué d’autres facteurs qui rentrent en ligne de compte de cette chute, notamment le facteur environnemental. Et d’expliquer : « les Ivoiriens sont friands de crise et de violence. Et quand il y a stabilité dans le pays, ils ne voient pas important d’acheter les journaux pour s’informer ». Il y a aussi, le facteur de la presse en ligne qui tue, selon lui, les ventes des journaux en Côte d’Ivoire. Quant à Bomo Francis, directeur de la communication du Conseil National de la Presse (CNP), il a mentionné que la paupérisation des journaux ne permet pas à l’Ivoirien qui a un faible revenu d’avoir l’envie d’acheter le journal. « Le journal atteint une cible minoritaire, puisque le taux d’analphabétisme est de 51%, il faut dire que dans ce pourcentage, il y a peu de personnes qui peuvent se donner le luxe d’acheter le journal », a affirmé Bomo Francis. Ainsi, pour résoudre cette problématique qui mine les organes de presse. Il faut, selon les distributeurs de Côte d’Ivoire et la CNP, sensibiliser les distributeurs eux-mêmes d’abord puisqu’ils ont tendance de ne pas afficher certains journaux sous prétexte que certains journaux ne font pas vendre. Faire un journal qui touche les sujets importants, peut pousser même le parent au village de l’acheter. Ils ont préconisé que les organes de presse construisent des kiosques à journaux pour permettre aussi l’écoulement facile des journaux.
OS
Oumar Bakayoko, membre des distributeurs de journaux en Côte d’Ivoire a énuméré les causes de la chute de vente des journaux. Selon lui, cette chute est due d’abord aux organes de presse qui élaborent de mauvais titrage. Il a aussi expliqué d’autres facteurs qui rentrent en ligne de compte de cette chute, notamment le facteur environnemental. Et d’expliquer : « les Ivoiriens sont friands de crise et de violence. Et quand il y a stabilité dans le pays, ils ne voient pas important d’acheter les journaux pour s’informer ». Il y a aussi, le facteur de la presse en ligne qui tue, selon lui, les ventes des journaux en Côte d’Ivoire. Quant à Bomo Francis, directeur de la communication du Conseil National de la Presse (CNP), il a mentionné que la paupérisation des journaux ne permet pas à l’Ivoirien qui a un faible revenu d’avoir l’envie d’acheter le journal. « Le journal atteint une cible minoritaire, puisque le taux d’analphabétisme est de 51%, il faut dire que dans ce pourcentage, il y a peu de personnes qui peuvent se donner le luxe d’acheter le journal », a affirmé Bomo Francis. Ainsi, pour résoudre cette problématique qui mine les organes de presse. Il faut, selon les distributeurs de Côte d’Ivoire et la CNP, sensibiliser les distributeurs eux-mêmes d’abord puisqu’ils ont tendance de ne pas afficher certains journaux sous prétexte que certains journaux ne font pas vendre. Faire un journal qui touche les sujets importants, peut pousser même le parent au village de l’acheter. Ils ont préconisé que les organes de presse construisent des kiosques à journaux pour permettre aussi l’écoulement facile des journaux.
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