La ministre ivoirienne en charge de l’Enseignement supérieur Ly Ramata Bakayoko a exprimé samedi à Yamoussoukro (centre) la volonté du gouvernement d’instaurer un climat apaisé dans les universités de Côte d’Ivoire.
Mme Bakayoko qui intervenait à l’occasion de l’investiture des clubs de paix et de non-violence des Universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire, a indiqué que cette initiative vise à pacifier les espaces universitaires, en proies aux affrontements depuis 1990.
"Si notre jeunesse est bien formée dans le domaine de la paix et de la non-violence, elle pourra contribuer à la consolidation de la paix au plan national", a noté la ministre.
"Je vous exhorte à poser sur le campus des actes de non-violence, c’est à ce prix que l’activité académique pourra se dérouler dans un climat apaisé et que les Universités ivoiriennes pourront se hisser au niveau des meilleures Universités du monde et contribuer à l’émergence de la Côte d’Ivoire ", a-t-elle ajouté à l’endroit des étudiants.
De son avis, les étudiants ivoiriens doivent avoir à l’esprit de s’engager en faveur d’une paix durable.
"Les étudiants et autres acteurs des universités et grandes écoles doivent devenir des acteurs incontournables de la pacification du pays", a-t-elle souligné.
Les clubs de paix et de non-violence sont issus des universités d’Abidjan, de Bouaké (centre), de Korhogo (nord), de Daloa (centre-ouest) et des grandes écoles publiques d’Abidjan et de Yamoussoukro (centre).
Les universités publiques ivoiriennes ont parfois été le théâtre de violents incidents, en plus de subir des grèves des enseignants et des étudiants.
A plusieurs occasions, les autorités et les parents d’élèves se sont rencontrés pour réfléchir sur les moyens et stratégies à mettre en oeuvre pour le retour au calme sur les campus.
De leur avis, l’émergence à laquelle aspire la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020 doit passer par la réussite scolaire et universitaire dans une atmosphère de sérénité.
Mme Bakayoko qui intervenait à l’occasion de l’investiture des clubs de paix et de non-violence des Universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire, a indiqué que cette initiative vise à pacifier les espaces universitaires, en proies aux affrontements depuis 1990.
"Si notre jeunesse est bien formée dans le domaine de la paix et de la non-violence, elle pourra contribuer à la consolidation de la paix au plan national", a noté la ministre.
"Je vous exhorte à poser sur le campus des actes de non-violence, c’est à ce prix que l’activité académique pourra se dérouler dans un climat apaisé et que les Universités ivoiriennes pourront se hisser au niveau des meilleures Universités du monde et contribuer à l’émergence de la Côte d’Ivoire ", a-t-elle ajouté à l’endroit des étudiants.
De son avis, les étudiants ivoiriens doivent avoir à l’esprit de s’engager en faveur d’une paix durable.
"Les étudiants et autres acteurs des universités et grandes écoles doivent devenir des acteurs incontournables de la pacification du pays", a-t-elle souligné.
Les clubs de paix et de non-violence sont issus des universités d’Abidjan, de Bouaké (centre), de Korhogo (nord), de Daloa (centre-ouest) et des grandes écoles publiques d’Abidjan et de Yamoussoukro (centre).
Les universités publiques ivoiriennes ont parfois été le théâtre de violents incidents, en plus de subir des grèves des enseignants et des étudiants.
A plusieurs occasions, les autorités et les parents d’élèves se sont rencontrés pour réfléchir sur les moyens et stratégies à mettre en oeuvre pour le retour au calme sur les campus.
De leur avis, l’émergence à laquelle aspire la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020 doit passer par la réussite scolaire et universitaire dans une atmosphère de sérénité.