Lusaka, la capitale Zambienne accueille la 51e Assemblée annuelle de la Banque africaine de développement (BAD), depuis ce lundi 23 mai au Centre international de conférences de Mulungushi . Plus de 5000 délégués et participants échangeront principalement sur des thématiques liées au développement du continent africain.
La Côte d’Ivoire est représentée à cet événement panafricain par une délégation conduite par la ministre du Plan et du Développement, Kaba Nialé, par ailleurs gouverneur de la banque. La ministre du plan est accompagnée par le ministre Adama Koné, Ministre auprès du Premier Ministre, chargé de l`économie et des finances et de leurs différents collaborateurs.
"Nous sommes ici d’abord parce que notre pays est membre de la Banque Africaine de développement et il s’agit aujourd’hui d’une réunion statutaire à laquelle nous devons absolument participer. Mieux Abidjan abrite le siège de l’institution " a déclaré la ministre Kaba Nialé.Selon la ministre du plan et développement , la Côte d’Ivoire a été honorée du retour de la BAD depuis deux ans dans la capitale ivoirienne et d’avoir également abrité la célébration du cinquantenaire de la BAD l’année dernière sur les bords de la lagune Ebrié.
Kaba Nialé a noté la très bonne collaboration entre l’institution panafricaine et la Côte d’Ivoire. "Nous avons un portefeuille important avec la BAD qui nous accompagne dans plusieurs projets structurants qui vont des infrastructures routières à l’agriculture en passant par l’énergie, la santé et l’éducation". Pour elle, la rencontre de Lusaka est l’occasion de faire le point des activités menées avec la banque et douvrir de nouvelles perspectives. Kaba Nialé s’est félicitée, pour terminer de l’engagement de la BAD à appuyer la Côte d’Ivoire à hauteur de 2 milliards de dollars US sur la période 2016- 2020.
Cette année, le thème des assises de Lusaka est « Énergie et changement climatique » et portera sur l’une des « Cinq grandes priorités » de la Banque, notamment « Éclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie ». Il fera également référence au Nouveau Pacte de l’énergie de la Banque et aux principales résolutions prises lors des récentes négociations de l’ONU sur le réchauffement climatique (COP21).
Didier ASSOUMOU, envoyé spécial
La Côte d’Ivoire est représentée à cet événement panafricain par une délégation conduite par la ministre du Plan et du Développement, Kaba Nialé, par ailleurs gouverneur de la banque. La ministre du plan est accompagnée par le ministre Adama Koné, Ministre auprès du Premier Ministre, chargé de l`économie et des finances et de leurs différents collaborateurs.
"Nous sommes ici d’abord parce que notre pays est membre de la Banque Africaine de développement et il s’agit aujourd’hui d’une réunion statutaire à laquelle nous devons absolument participer. Mieux Abidjan abrite le siège de l’institution " a déclaré la ministre Kaba Nialé.Selon la ministre du plan et développement , la Côte d’Ivoire a été honorée du retour de la BAD depuis deux ans dans la capitale ivoirienne et d’avoir également abrité la célébration du cinquantenaire de la BAD l’année dernière sur les bords de la lagune Ebrié.
Kaba Nialé a noté la très bonne collaboration entre l’institution panafricaine et la Côte d’Ivoire. "Nous avons un portefeuille important avec la BAD qui nous accompagne dans plusieurs projets structurants qui vont des infrastructures routières à l’agriculture en passant par l’énergie, la santé et l’éducation". Pour elle, la rencontre de Lusaka est l’occasion de faire le point des activités menées avec la banque et douvrir de nouvelles perspectives. Kaba Nialé s’est félicitée, pour terminer de l’engagement de la BAD à appuyer la Côte d’Ivoire à hauteur de 2 milliards de dollars US sur la période 2016- 2020.
Cette année, le thème des assises de Lusaka est « Énergie et changement climatique » et portera sur l’une des « Cinq grandes priorités » de la Banque, notamment « Éclairer l’Afrique et l’alimenter en énergie ». Il fera également référence au Nouveau Pacte de l’énergie de la Banque et aux principales résolutions prises lors des récentes négociations de l’ONU sur le réchauffement climatique (COP21).
Didier ASSOUMOU, envoyé spécial