APA-Abidjan (Côte d’Ivoire) Le Gouverneur du district autonome d’Abidjan Robert Beugré Mambé, a annoncé au cours d’une rencontre de ‘’crise’’ à Abidjan, une série d’actions à mener en vue de mettre fin à la pénurie d’attiéké (semoule de manioc), un aliment très prisé par les populations ivoiriennes.
Selon une note d’information transmise, mardi, à APA, M. Mambé, a donné des instructions à ses collaborateurs pour ‘’accroître la production du manioc d’une part et augmenter le nombre d’usines de production d’attiéké dans le périmètre d’Abidjan d’autre part’’.
A ce propos, le district d’Abidjan devrait signer dans les prochains jours, une convention avec le Conseil régional du Bélier (Centre), une ‘’zone fertile et très propice à la culture d’un type de manioc qui a l’avantage de produire rapidement mais surtout de produire de gros tubercules’’.
L’implantation d’unités de production dans le périmètre abidjanais ainsi qu’une aide aux producteurs en mettant à leur disposition des fertilisants bio et des boutures issues des dernières trouvailles des laboratoires et autres centres et instituts de recherche, sont également au nombre des solutions proposées par le district d’Abidjan qui concentre plus de 5 millions d’habitants.
L’autre réflexion non moins importante est d’aider les producteurs du district d’Abidjan. Les raisons de la rareté du manioc sur les marchés ivoiriens varient et divergent d’un expert à un autre. Elles sont notamment imputables à la pauvreté des sols, aux changements climatiques et au désintérêt des cultures vivrières au profit des cultures de rente.
LS/APA
Selon une note d’information transmise, mardi, à APA, M. Mambé, a donné des instructions à ses collaborateurs pour ‘’accroître la production du manioc d’une part et augmenter le nombre d’usines de production d’attiéké dans le périmètre d’Abidjan d’autre part’’.
A ce propos, le district d’Abidjan devrait signer dans les prochains jours, une convention avec le Conseil régional du Bélier (Centre), une ‘’zone fertile et très propice à la culture d’un type de manioc qui a l’avantage de produire rapidement mais surtout de produire de gros tubercules’’.
L’implantation d’unités de production dans le périmètre abidjanais ainsi qu’une aide aux producteurs en mettant à leur disposition des fertilisants bio et des boutures issues des dernières trouvailles des laboratoires et autres centres et instituts de recherche, sont également au nombre des solutions proposées par le district d’Abidjan qui concentre plus de 5 millions d’habitants.
L’autre réflexion non moins importante est d’aider les producteurs du district d’Abidjan. Les raisons de la rareté du manioc sur les marchés ivoiriens varient et divergent d’un expert à un autre. Elles sont notamment imputables à la pauvreté des sols, aux changements climatiques et au désintérêt des cultures vivrières au profit des cultures de rente.
LS/APA