Le Front populaire ivoirien (Fpi) n’a pas oublié ses militants du nord. Pour les conférences fédérales, la numéro 2, Agnès Monnet, a été dépêchée, à Dabakala, dans le département de Katiola, pour apporter un message d’espoir aux militants de la localité. C’était le samedi 21 mai dernier, à Bassawa, dans la fédération de Dabakala 2.
Agnès Monnet a demandé aux uns et aux autres de ne pas s’embarrasser de fioritures, d’aller de l’avant pour renforcer l’implantation du parti dans la zone. A cet effet, elle a souligné que le Fpi se veut avant tout une structure nationale. C’est-à-dire un parti sur l’ensemble du territoire national. La secrétaire générale a suggéré la multiplication des sections et comités de base en vue du maillage du terrain.
Mme Monnet a fait comprendre que, pour la reconquête du pouvoir, le parti compte aussi sur les militants du nord. Aussi, les animateurs locaux sont-ils appelés à redoubler d’efforts pour booster l’élan de parti.
Evoquant l’actualité, elle a rassuré les militants pour dire que le Fpi s’est relevé de la tragédie du 11 avril 2011 et qu’elle poursuit sa marche. Les militants doivent s’armer de courage pour travailler à la reconquête du pouvoir d’Etat, a-t-elle recommandé. L’ancienne maire d’Agou a rappelé le défi pour tous les militants de tout faire pour que les camarades détenus recouvrent la liberté.
Ouattara Yaya, le secrétaire général de la fédération de Dabakala 2, s’est réjoui de l’arrivée de la numéro 2 du parti dans la localité. Il a fait savoir que c’est un événement qui va remotiver les militants. Il a égrené les difficultés qui sont les leurs et qui se résument en moyens financiers, ressources humaines pour mieux cerner le terrain.
Il a annoncé que les sections passent dorénavant de cinq à onze. Les comités de base de quatre vingt treize à cent quatre.
La fédération de Dabakala a été scindée en deux : Dabakala 1 et Dabakala 2. La seconde fédération qui a reçu la secrétaire générale du parti à la rose est composée des sous-préfectures de Bassawa, Satama Sokoura, Satama Sokoro et Yaossiedougou.
César Ebrokié
Agnès Monnet a demandé aux uns et aux autres de ne pas s’embarrasser de fioritures, d’aller de l’avant pour renforcer l’implantation du parti dans la zone. A cet effet, elle a souligné que le Fpi se veut avant tout une structure nationale. C’est-à-dire un parti sur l’ensemble du territoire national. La secrétaire générale a suggéré la multiplication des sections et comités de base en vue du maillage du terrain.
Mme Monnet a fait comprendre que, pour la reconquête du pouvoir, le parti compte aussi sur les militants du nord. Aussi, les animateurs locaux sont-ils appelés à redoubler d’efforts pour booster l’élan de parti.
Evoquant l’actualité, elle a rassuré les militants pour dire que le Fpi s’est relevé de la tragédie du 11 avril 2011 et qu’elle poursuit sa marche. Les militants doivent s’armer de courage pour travailler à la reconquête du pouvoir d’Etat, a-t-elle recommandé. L’ancienne maire d’Agou a rappelé le défi pour tous les militants de tout faire pour que les camarades détenus recouvrent la liberté.
Ouattara Yaya, le secrétaire général de la fédération de Dabakala 2, s’est réjoui de l’arrivée de la numéro 2 du parti dans la localité. Il a fait savoir que c’est un événement qui va remotiver les militants. Il a égrené les difficultés qui sont les leurs et qui se résument en moyens financiers, ressources humaines pour mieux cerner le terrain.
Il a annoncé que les sections passent dorénavant de cinq à onze. Les comités de base de quatre vingt treize à cent quatre.
La fédération de Dabakala a été scindée en deux : Dabakala 1 et Dabakala 2. La seconde fédération qui a reçu la secrétaire générale du parti à la rose est composée des sous-préfectures de Bassawa, Satama Sokoura, Satama Sokoro et Yaossiedougou.
César Ebrokié