Je dédie ces lignes à nos deux confrères et amis miens de Fraternité Matin, Mohammed Diallo et Landry Kohon, rappelés subitement à Dieu, dans la même semaine, la plume à la main.
Qui n’a pas encore compris que la Côte d’Ivoire est « une terre qui appartient aux vivants et non aux morts » ? Jugeons-en nous-mêmes ! Notre pays n’a pas la plus grande superficie au monde.
C’est une minuscule portion de terre par rapport à la Russie, à la Chine ou aux Etats-Unis d’Amérique du Nord.
En Afrique, après la division du Soudan en Soudan et en Soudan du Sud, le plus vaste Etat africain se trouve être l’Algérie avec 2.381.741km², suivie de la République démocratique du Congo (ex-Zaïre) avec 2.344.858 km². La Côte d’Ivoire n’a que 322.463 km² de superficie. Et pourtant, elle détient le record mondial d’étrangers sur son sol.
Officiellement, 26% de la population ivoirienne selon le Recensement général de la population et de l’habitat (Rgph) réalisé récemment par Albert Mabri Toikeusse Abdallah, ministre du Plan d’alors. Pourquoi une telle ruée d’étrangers chez nous ? Cela s’explique fort aisément et tout simplement par la stabilité, plutôt par les stabilités, devrions-nous dire, politique et économique de la Côte d’Ivoire sous le régime du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci-Rda) sous le président Félix Houphouët-Boigny d’abord, ensuite sous le président Henri Konan Bédié, l’homme du "Miracle ivoirien" quand il était ministre de l’Economie et des finances. La Guinée d’Ahmed Sékou Touré avait plus de richesses (avant d’être pillées par les Chinois et les Russes) forestières, minières et minéralières que la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët-Boigny.
Mais alors, pourquoi les Guinéens fuyaient-ils en masse leur pays natal pour se réfugier chez leurs voisins, les Ivoiriens ? Explication : il fait bon vivre à côté !
Qui n’a pas encore compris pourquoi les présidents Henri Konan Bédié du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci-Rda), le premier et l’aîné, a fait don de sa personne, suivi en cela par son jeune frère, Alassane Ouattara du Rassemblement des républicains (Rdr) ,pour mettre sur pied le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) en alliance avec le Mouvement des forces d’avenir (Mfa) d’Innocent Anaky Kobena (en son temps) et de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (Udpci) d’Albert Mabri Toikeusse, le mercredi 18 mai 2005, sur les bords de la Seine à Paris ? La raison en était toute simple.
Devant les incerincertitudes d’un régime des refondateurs que certains Ivoiriens ont qualifié de pagailleur, et d’autres de dictateur, mais que tous, unanimement, ont reconnu comme un régime incompétent, ayant « échoué partout et en tout », il fallait à Henri Konan Bédié et à Alassane Ouattara, les deux poids lourds de l’opposition politique ivoirienne de 2000 à 2010, prendre leur responsabilité historique : faire la paix ! Se considérant comme enfants et héritiers de Félix Houphouët-Boigny, « cerveau politique de premier ordre », selon le président français, le général Charles de Gaulle. Et,Bédié et Ouattara, taisant leur ego, ont réalisé cette paix, eux que d’aucuns disaient qu’ils se vouaient une rancune de mule du pape et une haine implacable.
Cette paix retrouvée, tous les Ivoiriens,sans exception, de tous bords politiques, jouissent des fruits. Les premiers à applaudir, ce sont les investisseurs nationaux ou étrangers. Car, l’avenir, de tout un pays pour ses enfants et les générations futures, qui était, politiquement, économiquement, socialement, diplomatiquement, humainement, bouché par des refondateurs à la noix, a été débouché pour « le progrès pour tous et le bonheur pour chacun ». Oui, on peut l’affirmer sans risque de nous tromper puisque c’est récent. Il y a seulement quatre (05) petites années, tout était bloqué dans ce pays. La société était partagée entre jeunes patriotes, vieux patriotes, vieillottes patriotes, d’une part, et d’autre part, les autres.
Il y avait des quartiers pro-patriotes et des communes entières anti-refondateurs.
Est-il utile d’ajouter que les Abidjanais, pour ne pas dire, tous les Ivoiriens se regardaient en chiens de faïence, prêts à se sauter à la gorge, les uns, les autres ? Et cerise sur le gâteau, la crise postélectorale d’octobre 2010 à avril 2011 !
Quel Ivoirien peut-il jurer n’avoir pas souffert des dix (10) ans du passage des refondateurs au pouvoir d’Etat ?
Qui, alors, rétrospectivement, n’a pas encore compris l’Appel de Daoukro du président Henri Konan Bédié et son message subséquent, eu égard à ce que les Ivoiriens ont vécu ?
Qui n’a pas encore compris ce message au point d’avoir des comportements désordonnés qui foulent aux pieds les fondements de notre maison commune, le Rhdp ? Alors que la voie est grande ouverte par deux(02) présidents. Bédié et Ouattara se voient constamment, échangent régulièrement.
Parti à Daoukro, le samedi 28 mai dernier, pour présenter ses condoléances à son grand frère dont la soeur aînée Mamie Bédié Kra Madeleine vient de nous quitter, (n’est ce pas dans le malheur qu’on voit ses meilleurs amis et frères !), le chef de l’Etat a aménagé son programme pour que les deux poids lourds du Rhdp puissent parler de l’union au sein de leur oeuvre commune. Ils y tiennent comme à la prunelle de leurs yeux !
Qui n’a donc pas encore compris que des défis majeurs attendent, en cette fin d’année 2016, le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) ? Entre autres, les élections législatives (20 novembre 2016) et le scrutin référendaire (en octobre, date à confirmer)
qui tombent à point nommé pour démontrer que le président Alassane Ouattara n’a pas été mal élu (en 2010) et mal réélu (en 2015) comme certains tentent encore, aujourd’hui, de le faire croire.
Le Rhdp doit gagner les Législatives ! Le Rhdp doit gagner le référendum ! Pour rehausser l’image emblématique de nos deux (02) présidents et conforter notre union. Toute attitude contraire à l’atteinte de ces objectifs est suicidaire pour soimême avant de l’être pour notre groupement houphouétiste. Les belles pages de tout un pays s’écrivent dans l’Union et dans l’Unité !
Qui n’a pas encore compris que la survie de la Côte d’Ivoire, avant celle du Rhdp (car, sans Côte d’Ivoire, point de Rhdp), réside dans la sincérité, dans le respect mutuel, dans la consolidation de nos acquis, somme toute, incommensurables en cinq (05) ans seulement de pouvoir d’Etat, dans l’union des coeurs et des esprits ? Pour ne pas revivre les horreurs que nous avons vécues, rien qu’en 2010
Qui, enfin, n’a pas encore compris que pour l’Houphouétiste, la vie est sacrée et que la Côte d’Ivoire est « une terre qui appartient aux vivants et non aux morts »!?!
Voici le message de fraternité que nous adressons à tous ceux, hommes, femmes, jeunes, qui hésitent encore à enfourcher le train du développement, amarré au quai, dont les deux (02) grands et principaux "machinistes" s’appellent Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara
Denis Kah Zion
Qui n’a pas encore compris que la Côte d’Ivoire est « une terre qui appartient aux vivants et non aux morts » ? Jugeons-en nous-mêmes ! Notre pays n’a pas la plus grande superficie au monde.
C’est une minuscule portion de terre par rapport à la Russie, à la Chine ou aux Etats-Unis d’Amérique du Nord.
En Afrique, après la division du Soudan en Soudan et en Soudan du Sud, le plus vaste Etat africain se trouve être l’Algérie avec 2.381.741km², suivie de la République démocratique du Congo (ex-Zaïre) avec 2.344.858 km². La Côte d’Ivoire n’a que 322.463 km² de superficie. Et pourtant, elle détient le record mondial d’étrangers sur son sol.
Officiellement, 26% de la population ivoirienne selon le Recensement général de la population et de l’habitat (Rgph) réalisé récemment par Albert Mabri Toikeusse Abdallah, ministre du Plan d’alors. Pourquoi une telle ruée d’étrangers chez nous ? Cela s’explique fort aisément et tout simplement par la stabilité, plutôt par les stabilités, devrions-nous dire, politique et économique de la Côte d’Ivoire sous le régime du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci-Rda) sous le président Félix Houphouët-Boigny d’abord, ensuite sous le président Henri Konan Bédié, l’homme du "Miracle ivoirien" quand il était ministre de l’Economie et des finances. La Guinée d’Ahmed Sékou Touré avait plus de richesses (avant d’être pillées par les Chinois et les Russes) forestières, minières et minéralières que la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët-Boigny.
Mais alors, pourquoi les Guinéens fuyaient-ils en masse leur pays natal pour se réfugier chez leurs voisins, les Ivoiriens ? Explication : il fait bon vivre à côté !
Qui n’a pas encore compris pourquoi les présidents Henri Konan Bédié du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci-Rda), le premier et l’aîné, a fait don de sa personne, suivi en cela par son jeune frère, Alassane Ouattara du Rassemblement des républicains (Rdr) ,pour mettre sur pied le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) en alliance avec le Mouvement des forces d’avenir (Mfa) d’Innocent Anaky Kobena (en son temps) et de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (Udpci) d’Albert Mabri Toikeusse, le mercredi 18 mai 2005, sur les bords de la Seine à Paris ? La raison en était toute simple.
Devant les incerincertitudes d’un régime des refondateurs que certains Ivoiriens ont qualifié de pagailleur, et d’autres de dictateur, mais que tous, unanimement, ont reconnu comme un régime incompétent, ayant « échoué partout et en tout », il fallait à Henri Konan Bédié et à Alassane Ouattara, les deux poids lourds de l’opposition politique ivoirienne de 2000 à 2010, prendre leur responsabilité historique : faire la paix ! Se considérant comme enfants et héritiers de Félix Houphouët-Boigny, « cerveau politique de premier ordre », selon le président français, le général Charles de Gaulle. Et,Bédié et Ouattara, taisant leur ego, ont réalisé cette paix, eux que d’aucuns disaient qu’ils se vouaient une rancune de mule du pape et une haine implacable.
Cette paix retrouvée, tous les Ivoiriens,sans exception, de tous bords politiques, jouissent des fruits. Les premiers à applaudir, ce sont les investisseurs nationaux ou étrangers. Car, l’avenir, de tout un pays pour ses enfants et les générations futures, qui était, politiquement, économiquement, socialement, diplomatiquement, humainement, bouché par des refondateurs à la noix, a été débouché pour « le progrès pour tous et le bonheur pour chacun ». Oui, on peut l’affirmer sans risque de nous tromper puisque c’est récent. Il y a seulement quatre (05) petites années, tout était bloqué dans ce pays. La société était partagée entre jeunes patriotes, vieux patriotes, vieillottes patriotes, d’une part, et d’autre part, les autres.
Il y avait des quartiers pro-patriotes et des communes entières anti-refondateurs.
Est-il utile d’ajouter que les Abidjanais, pour ne pas dire, tous les Ivoiriens se regardaient en chiens de faïence, prêts à se sauter à la gorge, les uns, les autres ? Et cerise sur le gâteau, la crise postélectorale d’octobre 2010 à avril 2011 !
Quel Ivoirien peut-il jurer n’avoir pas souffert des dix (10) ans du passage des refondateurs au pouvoir d’Etat ?
Qui, alors, rétrospectivement, n’a pas encore compris l’Appel de Daoukro du président Henri Konan Bédié et son message subséquent, eu égard à ce que les Ivoiriens ont vécu ?
Qui n’a pas encore compris ce message au point d’avoir des comportements désordonnés qui foulent aux pieds les fondements de notre maison commune, le Rhdp ? Alors que la voie est grande ouverte par deux(02) présidents. Bédié et Ouattara se voient constamment, échangent régulièrement.
Parti à Daoukro, le samedi 28 mai dernier, pour présenter ses condoléances à son grand frère dont la soeur aînée Mamie Bédié Kra Madeleine vient de nous quitter, (n’est ce pas dans le malheur qu’on voit ses meilleurs amis et frères !), le chef de l’Etat a aménagé son programme pour que les deux poids lourds du Rhdp puissent parler de l’union au sein de leur oeuvre commune. Ils y tiennent comme à la prunelle de leurs yeux !
Qui n’a donc pas encore compris que des défis majeurs attendent, en cette fin d’année 2016, le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) ? Entre autres, les élections législatives (20 novembre 2016) et le scrutin référendaire (en octobre, date à confirmer)
qui tombent à point nommé pour démontrer que le président Alassane Ouattara n’a pas été mal élu (en 2010) et mal réélu (en 2015) comme certains tentent encore, aujourd’hui, de le faire croire.
Le Rhdp doit gagner les Législatives ! Le Rhdp doit gagner le référendum ! Pour rehausser l’image emblématique de nos deux (02) présidents et conforter notre union. Toute attitude contraire à l’atteinte de ces objectifs est suicidaire pour soimême avant de l’être pour notre groupement houphouétiste. Les belles pages de tout un pays s’écrivent dans l’Union et dans l’Unité !
Qui n’a pas encore compris que la survie de la Côte d’Ivoire, avant celle du Rhdp (car, sans Côte d’Ivoire, point de Rhdp), réside dans la sincérité, dans le respect mutuel, dans la consolidation de nos acquis, somme toute, incommensurables en cinq (05) ans seulement de pouvoir d’Etat, dans l’union des coeurs et des esprits ? Pour ne pas revivre les horreurs que nous avons vécues, rien qu’en 2010
Qui, enfin, n’a pas encore compris que pour l’Houphouétiste, la vie est sacrée et que la Côte d’Ivoire est « une terre qui appartient aux vivants et non aux morts »!?!
Voici le message de fraternité que nous adressons à tous ceux, hommes, femmes, jeunes, qui hésitent encore à enfourcher le train du développement, amarré au quai, dont les deux (02) grands et principaux "machinistes" s’appellent Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara
Denis Kah Zion