Le score réalisé par le Front populaire ivoirien (Fpi) à la présidentielle 2015 est très loin de refléter la représentativité de ce parti sur l’échiquier politique national. Les législatives de novembre prochain doivent, en conséquence, selon Christine Konan, vice-présidente du Fpi chargée du District d’Abidjan, qui animait la Conférence fédérale de Koumassi 1, samedi dernier, à l’école primaire Sogefiha Lagune, permettre de repositionner le Fpi pour rééquilibrer les forces politiques nationales.
«L’Assemblée nationale est la 2ème institution forte de l’Etat. Il faut qu’on gagne les législatives pour redevenir la force politique qu’on a toujours été et qu’on ne n’aurait jamais dû cesser d’être. Donc nous visons au moins la moitié des sièges. Ici, à Koumassi où je suis candidate, je compte sur vous pour que la députation revienne à nouveau au Fpi», a-t-elle lâché dans un tonnerre d’applaudissements des fédéraux, secrétaires de section, militants et sympathisants, venus en nombre respectable.
Toutefois, la vice-présidente est consciente que cet objectif nécessite une intensification du travail sur le terrain, parce que la campagne d’intoxication des militants, cause de la division du parti, peut le contrarier. D’où son appel à un sursaut militant : «Il ne faut pas que notre bêtise, notre division nous fasse perdre les législatives qui sont largement à notre portée».
Sur la division au Fpi, objet des préoccupations et interrogations des militants, Christine Konan, aidé du secrétaire national chargé de Koumassi, Jacques Kacou, a déploré le manque de culture des troupes de son parti. «Pourquoi la crise prend ? Eh bien, parce que ceux qui l’alimentent jouent sur votre ignorance, votre manque de formation politique. Or, un homme ou une femme mal formé est un danger pour le groupe». C’est d’ailleurs pour remédier à ce manque de culture des militants et sympathisants que, a-t-elle insisté, la formation et le renforcement des capacités sont inscrits en lettres d’or dans les 10 chantiers de la direction du parti. «Nous allons rouvrir l’Ecole du parti», a-t-elle annoncé.
Les autres chantiers étant la consolidation de l’appareil du parti, le développement de la communication interne, la redynamisation de la politique sociale, le renforcement de la communication et du marketing. La modernisation de la vision stratégique qui repose sur le peuple, le jeu politique et la diplomatie, de même que la mise en œuvre des alliances, la lutte pour les libertés, la consolidation du positionnement du parti et le financement sont les autres axes des 10 chantiers du Fpi.
Bruno Kouadio
«L’Assemblée nationale est la 2ème institution forte de l’Etat. Il faut qu’on gagne les législatives pour redevenir la force politique qu’on a toujours été et qu’on ne n’aurait jamais dû cesser d’être. Donc nous visons au moins la moitié des sièges. Ici, à Koumassi où je suis candidate, je compte sur vous pour que la députation revienne à nouveau au Fpi», a-t-elle lâché dans un tonnerre d’applaudissements des fédéraux, secrétaires de section, militants et sympathisants, venus en nombre respectable.
Toutefois, la vice-présidente est consciente que cet objectif nécessite une intensification du travail sur le terrain, parce que la campagne d’intoxication des militants, cause de la division du parti, peut le contrarier. D’où son appel à un sursaut militant : «Il ne faut pas que notre bêtise, notre division nous fasse perdre les législatives qui sont largement à notre portée».
Sur la division au Fpi, objet des préoccupations et interrogations des militants, Christine Konan, aidé du secrétaire national chargé de Koumassi, Jacques Kacou, a déploré le manque de culture des troupes de son parti. «Pourquoi la crise prend ? Eh bien, parce que ceux qui l’alimentent jouent sur votre ignorance, votre manque de formation politique. Or, un homme ou une femme mal formé est un danger pour le groupe». C’est d’ailleurs pour remédier à ce manque de culture des militants et sympathisants que, a-t-elle insisté, la formation et le renforcement des capacités sont inscrits en lettres d’or dans les 10 chantiers de la direction du parti. «Nous allons rouvrir l’Ecole du parti», a-t-elle annoncé.
Les autres chantiers étant la consolidation de l’appareil du parti, le développement de la communication interne, la redynamisation de la politique sociale, le renforcement de la communication et du marketing. La modernisation de la vision stratégique qui repose sur le peuple, le jeu politique et la diplomatie, de même que la mise en œuvre des alliances, la lutte pour les libertés, la consolidation du positionnement du parti et le financement sont les autres axes des 10 chantiers du Fpi.
Bruno Kouadio
