Yamoussoukro, Les partis politiques doivent désormais déclarer leurs dons et legs à la Haute autorité de bonne gouvernance (HABG), les trois mois qui suivent la réception, selon une recommandation des acteurs nationaux de structures étatiques publiques et privées ainsi que de la société civile au terme d’un séminaire de trois jours sur la corruption organisé à Yamoussoukro.
Les dons des partis politiques provenant des personnes physiques ne doivent pas excéder un million de francs CFA par an et par donateur ont précisé vendredi les participants soulignant que ne peuvent faire de dons aux partis et groupements politiques, les personnes physiques et morales de nationalité étrangère.
Les acteurs nationaux présents au séminaire ont par ailleurs recommandé le plafonnement du budget de campagne des candidats aux différents scrutins sur proposition de la commission électorale indépendante (CEI). Ils ont également suggéré la vérification des budgets de campagnes des élections présidentielles et législatives par le Conseil constitutionnel et celle des élections locales par la Cour suprême.
Le séminaire destiné à identifier les mesures spécifiques de prévention de la corruption et des infractions assimilées en Côte d’Ivoire a été organisé à l’initiative de la HABG. Il a permis aux acteurs des structures nationales de classifier les mesures relevant de chaque acteur et secteur d’activité, d’en préciser les contenus et de définir les modalités de leur prise en charge, ainsi que de déterminer les structures chargées de la mise en œuvre, afin de promouvoir la bonne gouvernance.
(AIP)
nam/kam
Les dons des partis politiques provenant des personnes physiques ne doivent pas excéder un million de francs CFA par an et par donateur ont précisé vendredi les participants soulignant que ne peuvent faire de dons aux partis et groupements politiques, les personnes physiques et morales de nationalité étrangère.
Les acteurs nationaux présents au séminaire ont par ailleurs recommandé le plafonnement du budget de campagne des candidats aux différents scrutins sur proposition de la commission électorale indépendante (CEI). Ils ont également suggéré la vérification des budgets de campagnes des élections présidentielles et législatives par le Conseil constitutionnel et celle des élections locales par la Cour suprême.
Le séminaire destiné à identifier les mesures spécifiques de prévention de la corruption et des infractions assimilées en Côte d’Ivoire a été organisé à l’initiative de la HABG. Il a permis aux acteurs des structures nationales de classifier les mesures relevant de chaque acteur et secteur d’activité, d’en préciser les contenus et de définir les modalités de leur prise en charge, ainsi que de déterminer les structures chargées de la mise en œuvre, afin de promouvoir la bonne gouvernance.
(AIP)
nam/kam