Abidjan – Le deuxième Forum ministériel africain consacré à l’intégration des TIC dans l’éducation et la formation s’est achevé vendredi, à l’Heden Golf Club d’Abidjan-Cocody, par une ferme résolution des participants à prendre toutes les dispositions pour faciliter et accélérer l’accès des enseignants et apprenants aux « compétences du 21ème siècle ».
« Lieu de partage de connaissances et d’expériences, ce Forum fût un espace de débats de la façon d’intégrer les TIC dans l’enseignement de sorte à en améliorer la qualité et les prestations, et de doter les apprenants des compétences du 21ème siècle à même de leur permettre de devenir des acteurs à part entière des sociétés du savoir et d’en jouir de son économie », mentionne le rapport général dont l’AIP a reçu copie.
Les résolutions adoptées visent principalement à « passer à l’action » par l’adoption de stratégies régionales, sous-régionales et nationales, des exonérations d’impôts et subventions, la création d’espaces multifonctionnels accessibles à toutes les forces vives, la conception de contenus conformes avec la culture des africains, l’établissement d’alliances technologiques de haut niveau, entre autres.
Pour les participants, les Etats africains devraient, par exemple, concevoir des parcours innovants et souples pour l’apprentissage et l’enseignement aux enfants touchés par une crise, en particulier les groupes marginalisés comme les filles, les handicapés de toutes sortes, les enfants ayant dépassé l’âge scolaire et les réfugiés, ou encore favoriser le développement de mini-réseaux et de systèmes hors réseau pouvant alimenter les écoles et rechercher les batteries tout en contribuant à réduire les écarts en matière d’accès a l’énergie.
« L’école, en tant que lieu d’acquisition du savoir ne peut se fermer au monde des TIC parce que les nouvelles sciences sont une nouvelle chance pour l’Afrique », a déclaré la ministre ivoirienne de l’Education nationale, Kandia Camara, à la clôture des travaux qui se tenait sous le thème « Promouvoir des sociétés du savoir inclusives en Afrique pour la mise en œuvre de l’Agenda 2063 pour l’Afrique et des Objectifs pour le développement durable (ODD) ».
La formidable capacité des jeunes à s’approprier ces nouveaux outils présume du succès de l’Afrique dans ce domaine mais la fracture de l’accès à l’internet et aux TIC est un défi qui doit être relevé, tout comme le contenu curriculaire pour rendre efficient cette forme d’accès à la société du savoir en construction, a-t-elle souligné.
Au nom des 156 participants de haut niveau venus de 37 pays africains, européens, américains et asiatiques, elle a pris l’engagement de « servir l’école africaine pour une Afrique intégrée et prospère ».
Le Forum ministériel africain sur l’intégration des TIC à l’éducation et à la formation est une initiative de la Banque africaine de développement à travers l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (ADEA), l’UNESCO et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en partenariat avec des acteurs privés.
La Côte d’Ivoire a signé à cette occasion trois protocoles d’accords de partenariat avec les multinationales GECI, Intel et Microsoft pour parvenir à son objectif de procurer une éducation et une formation de qualité à tous les enfants de six à 16 ans.
aaa/tm
« Lieu de partage de connaissances et d’expériences, ce Forum fût un espace de débats de la façon d’intégrer les TIC dans l’enseignement de sorte à en améliorer la qualité et les prestations, et de doter les apprenants des compétences du 21ème siècle à même de leur permettre de devenir des acteurs à part entière des sociétés du savoir et d’en jouir de son économie », mentionne le rapport général dont l’AIP a reçu copie.
Les résolutions adoptées visent principalement à « passer à l’action » par l’adoption de stratégies régionales, sous-régionales et nationales, des exonérations d’impôts et subventions, la création d’espaces multifonctionnels accessibles à toutes les forces vives, la conception de contenus conformes avec la culture des africains, l’établissement d’alliances technologiques de haut niveau, entre autres.
Pour les participants, les Etats africains devraient, par exemple, concevoir des parcours innovants et souples pour l’apprentissage et l’enseignement aux enfants touchés par une crise, en particulier les groupes marginalisés comme les filles, les handicapés de toutes sortes, les enfants ayant dépassé l’âge scolaire et les réfugiés, ou encore favoriser le développement de mini-réseaux et de systèmes hors réseau pouvant alimenter les écoles et rechercher les batteries tout en contribuant à réduire les écarts en matière d’accès a l’énergie.
« L’école, en tant que lieu d’acquisition du savoir ne peut se fermer au monde des TIC parce que les nouvelles sciences sont une nouvelle chance pour l’Afrique », a déclaré la ministre ivoirienne de l’Education nationale, Kandia Camara, à la clôture des travaux qui se tenait sous le thème « Promouvoir des sociétés du savoir inclusives en Afrique pour la mise en œuvre de l’Agenda 2063 pour l’Afrique et des Objectifs pour le développement durable (ODD) ».
La formidable capacité des jeunes à s’approprier ces nouveaux outils présume du succès de l’Afrique dans ce domaine mais la fracture de l’accès à l’internet et aux TIC est un défi qui doit être relevé, tout comme le contenu curriculaire pour rendre efficient cette forme d’accès à la société du savoir en construction, a-t-elle souligné.
Au nom des 156 participants de haut niveau venus de 37 pays africains, européens, américains et asiatiques, elle a pris l’engagement de « servir l’école africaine pour une Afrique intégrée et prospère ».
Le Forum ministériel africain sur l’intégration des TIC à l’éducation et à la formation est une initiative de la Banque africaine de développement à travers l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (ADEA), l’UNESCO et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en partenariat avec des acteurs privés.
La Côte d’Ivoire a signé à cette occasion trois protocoles d’accords de partenariat avec les multinationales GECI, Intel et Microsoft pour parvenir à son objectif de procurer une éducation et une formation de qualité à tous les enfants de six à 16 ans.
aaa/tm