Abidjan (Côte d'Ivoire) - Une campagne de lutte contre la violence sur les enfants sur le continent africain dénommé « End violences against Children in Africa » a été lancée, jeudi, à Abidjan par la presse ivoirienne à travers le réseau des acteurs des medias pour les droits des enfants (RAMEDE-CI).
« Les violences faites aux enfants font partie des maux auxquels nous devons apporter des éléments de réponses appropriés », a relevé Mamadou Doumbia, le président du Conseil d’administration du RAMEDE-CI.
Selon lui, «plus de 75% de la population ivoirienne est jeune. Cela impose à toute la société de prendre avec un intérêt certain tout ce qui touche à cette frange de la population avec l’obligation d’apporter une solution aux différentes préoccupations » .
« La presse a décidé de jouer à fond sa responsabilité sociale en luttant pour les droits », a réitéré M. Doumbia .
De l’avis de Dr Ossei Kouakou, psychologue et responsable de l’ONG SOS violences sexuelles, l’un des acteurs de cette campagne, « la problématique des violences sexuelles est un phénomène qui prend de l’ampleur ».
Poursuivant, le responsable rapporte qu’ il y a des cas de violences perpétrées dans des familles qui restent cachés jusqu’ à ce qu’ on arrive à des problèmes médicaux.
« Un viol qui n’est pas pris en charge correctement peut causer des problèmes psychologiques assez graves », a-t-il interpellé.
La sensibilisation via l’internet, un concours international du meilleur journaliste dans la lutte contre les violences faites aux enfants vont également marquer cette campagne.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a calculé que 40 millions d'enfants de moins de 15 ans souffrant de maltraitance et d'abandon moral, ont besoin de soins de santé et de protection sociale.
SY/hs/ls
« Les violences faites aux enfants font partie des maux auxquels nous devons apporter des éléments de réponses appropriés », a relevé Mamadou Doumbia, le président du Conseil d’administration du RAMEDE-CI.
Selon lui, «plus de 75% de la population ivoirienne est jeune. Cela impose à toute la société de prendre avec un intérêt certain tout ce qui touche à cette frange de la population avec l’obligation d’apporter une solution aux différentes préoccupations » .
« La presse a décidé de jouer à fond sa responsabilité sociale en luttant pour les droits », a réitéré M. Doumbia .
De l’avis de Dr Ossei Kouakou, psychologue et responsable de l’ONG SOS violences sexuelles, l’un des acteurs de cette campagne, « la problématique des violences sexuelles est un phénomène qui prend de l’ampleur ».
Poursuivant, le responsable rapporte qu’ il y a des cas de violences perpétrées dans des familles qui restent cachés jusqu’ à ce qu’ on arrive à des problèmes médicaux.
« Un viol qui n’est pas pris en charge correctement peut causer des problèmes psychologiques assez graves », a-t-il interpellé.
La sensibilisation via l’internet, un concours international du meilleur journaliste dans la lutte contre les violences faites aux enfants vont également marquer cette campagne.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a calculé que 40 millions d'enfants de moins de 15 ans souffrant de maltraitance et d'abandon moral, ont besoin de soins de santé et de protection sociale.
SY/hs/ls