Le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) a soutenu lundi, l’idée de la création d’un poste de "vice-président" de la République suggérée par le chef de l’Etat Alassane Ouattara dans le cadre de la réforme constitutionnelle, a indiqué le président du directoire Amadou Soumahoro, estimant que "ce poste permettra une alternance".
"Nous avons soutenu l’idée de vice-présidence", a affirmé M. Soumahoro, ajoutant que "ce poste permettra une alternance, de gérer la vacance du pouvoir et l’intérim", après une rencontre avec M. Ouattara dans le cadre de la réforme constitutionnelle.
Pour lui, "la Côte d’Ivoire a frôlé la guerre civile", après "le décès" du premier président Félix Houphouët-Boigny "parce que les dispositions constitutionnelles étaient floues", tandis que "le mérite de ce poste" de vice-président "c’est la clarification".
Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), membre du RHDP "adhère également à la démarche" de la mise en place d’une nouvelle Constitution mais souhaite que "la mouture adoptée à Marcoussis soit intégralement réinscrite" dans les textes, a indiqué son secrétaire exécutif Maurice Kakou Guikahué.
Selon M.Guikahué, l’article 35 fixant les conditions d’éligibilité a été "réécrit de façon consensuelle avec tous les partis politiques de Côte d’Ivoire", lors des accords de Linas-Marcoussis en 2003 "donc cela ne devait pas souffrir de discussion".
Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition), le parti de l’ancien chef de l’Etat Laurent Gbagbo, a déjà rejeté l’idée de vice-présidence soutenant que ce poste n’a "nullement d’intérêt".
EFI
"Nous avons soutenu l’idée de vice-présidence", a affirmé M. Soumahoro, ajoutant que "ce poste permettra une alternance, de gérer la vacance du pouvoir et l’intérim", après une rencontre avec M. Ouattara dans le cadre de la réforme constitutionnelle.
Pour lui, "la Côte d’Ivoire a frôlé la guerre civile", après "le décès" du premier président Félix Houphouët-Boigny "parce que les dispositions constitutionnelles étaient floues", tandis que "le mérite de ce poste" de vice-président "c’est la clarification".
Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), membre du RHDP "adhère également à la démarche" de la mise en place d’une nouvelle Constitution mais souhaite que "la mouture adoptée à Marcoussis soit intégralement réinscrite" dans les textes, a indiqué son secrétaire exécutif Maurice Kakou Guikahué.
Selon M.Guikahué, l’article 35 fixant les conditions d’éligibilité a été "réécrit de façon consensuelle avec tous les partis politiques de Côte d’Ivoire", lors des accords de Linas-Marcoussis en 2003 "donc cela ne devait pas souffrir de discussion".
Le Front populaire ivoirien (FPI, opposition), le parti de l’ancien chef de l’Etat Laurent Gbagbo, a déjà rejeté l’idée de vice-présidence soutenant que ce poste n’a "nullement d’intérêt".
EFI